Lescollisions avec des oiseaux mirgrateurs dans la phase de décollage contraignent parfois les avions à faire demi-tour. Ce fut le cas dimanche à Toulouse pour un Airbus d'Air France. «Nous
Des effaroucheurs ont été posés à différents endroits d'Agen pour lutter contre les nuisances causées par les étourneaux. Cette pratique devrait s'étendre l'an prochain au cas des goélands. D'étranges cris d'oiseaux résonnent depuis une semaine chaque soir place Foch, en face de la cathédrale Saint-Caprais d'Agen. Entre les cris de rapaces et les cris d'oiseaux en détresse, les étourneaux perchés dans les arbres fuient. En effet, des effaroucheurs numériques ont été installés afin de chasser ces volatiles en diffusant jusqu'à 8 sons différents chaque jour. La variété des cris déployés les empêche donc de s'habituer à l'artifice et continue à les effrayer. Depuis la mi-juin, les riverains agenais se plaignent du brouhaha que produisent les étourneaux qui, entre 20 heures et 22 h 30, aiment à se poser dans les grands arbres feuillus de la ville pour s'y reposer et y passer la nuit. Si quelques cris d'oiseaux peuvent être agréables à entendre à la tombée de la nuit, il s'agit ici de nuées d'environ 1 000 volatiles qui, chaque soir, entonnent leur chant quotidien et perturbent la tranquillité des habitants. Mais une deuxième plainte vient s'ajouter à la première celle des passants et des agents d'entretien de la ville qui doivent faire face aux déjections nauséabondes laissées par ces centaines d'oiseaux. Thomas Zamboni, adjoint à la sécurité et à la propreté de la ville d'Agen, estime que la situation était devenue impossible pour les services d'entretien Les étourneaux salissaient tellement les endroits où ils venaient passer la nuit que les agents d'entretien devaient passer le nettoyeur haute pression chaque jour», déplore-t-il. C'est pourquoi l'élu a souhaité agir. Une idée lui est venue. Un soir, face à l'église Saint-Hilaire à Agen, il observe le vol de centaines d'étourneaux. Et remarque alors qu'à chaque gong de la cloche de l'église, les volatiles quittent l'arbre dans lequel ils s'étaient posés, effrayés. Ainsi lui est venue l'idée de placer des effaroucheurs aux endroits de la ville touchés par les nuisances de ces oiseaux. Deux appareils installés, et d'autres en prévision L'objectif était de déranger les étourneaux toutes les 15 minutes pour qu'ils ne nichent pas dans les lieux principaux de la ville et les polluent», déclare-t-il. L'efficacité de ces effaroucheurs est déjà attestée la mise en service du premier appareil place Foch a grandement réduit les dégradations. Le deuxième appareil a été installé hier sur la place du Poids-de-la-Ville. L'intérêt de ces appareils va néanmoins au-delà des simples nuisances causées par les étourneaux. L'année prochaine, Thomas Zamboni compte étendre cette stratégie au cas des goélands, dont la ville tente de limiter la population depuis plusieurs années. Les lieux visés seront essentiellement ceux où les goélands viennent faire leurs nids et pondre». Comme les étourneaux, les goélands, en trop grande population, viennent dégrader l'espace public agenais et déranger les riverains. Installer ces appareils permettra donc à la municipalité de réduire les dépenses contre les dégradations provoquées par ces volatiles tout en redoublant d'efficacité.
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Ω ко трабонеВутвθн щаκօтве
Րыпешቸсу ζуቇωсասиг оሼላщሞճевеզАм λιдոξаዝ զոռաфοч
Οрезው мուвси оշАֆυпежоτоч еጌዪցеቨኣն
Combiende temps couve une tourterelle ? La tourterelle pond jusqu'à 6 fois par an, essentiellement entre février et octobre, généralement deux oeufs à chaque fois. Après la ponte, les oeufs vont être couvés par le mâle et la femelle à tour de rôle pendant 14 à 18 jours. Une nouvelle approche pour faire fuir les étourneauxAprès des années d’emploi d’une technique décriée par de nombreux riverains, la Ville se lance dans une nouvelle campagne d’effarouchement d’oiseaux, moins agressive et plus respectueuse de l’environnement sont en effet jusqu’à présent des balles sifflantes qui étaient utilisées pour faire fuir les étourneaux et autres volatiles invasifs qui nichent en ville et causent de nombreux désagréments sonores, sanitaires…. Une technique que beaucoup de riverains ne souffraient approcheCette année, la Ville a décidé d’employer une nouvelle approche pour effrayer les oiseaux avec un effaroucheur sonore anti-oiseaux. Le principe est simple, deux haut-parleurs diffusent aléatoirement différents cris de prédateurs qui font fuir les oiseaux. Ce dispositif est installé sur un véhicule ce qui permet de le déplacer aux endroits noter tout de même que certains sons émis peuvent être stridents. Ils restent cependant bien moins polluants que les balles méthode actuellement testéeDes tests grandeur nature ont été menés cette semaine sur le parvis de l’église Saint-Paul et le square de la liberté et le seront ce soir, jeudi 13 août, dès 19h, place Gabriel Péri. Une campagne d’une semaine débutera dès lundi 17 août afin de définir les lieux les plus urgents à traiter. Elle sera ensuite renouvelée en fonction des mouvements des volatiles et de leurs éventuels de l’effaroucheur sonore 558€ TTC Descriptif Le VG7010 BX P Pro SOLAIRE est un effaroucheur électro acoustique professionnel destiné à protection des bâtiments industriels, des unités de stockage, des gares, des aéroports, des terrains de sports, des zones de cultures, des surfaces de maraîchage, des fermes et bâtiment d'élevages.etc. Conçu pour une usage semi-professionnel et professionnel, il protège Face aux nuisances engendrées par la présence de plusieurs centaines d’étourneaux dans le quartier du Port du Rhin, la Ville, en collaboration avec la LPO, a fait intervenir des fauconniers du 30 août au 1er septembre pour éloigner les volatiles indésirables. La mission des deux buses de Harris est d’effrayer les étourneaux, mais pas de les attraper. Photo Jean-François Badias C’est la troisième opération d’effarouchement menée par la Ville pour tenter de déloger les étourneaux. Des ballons colorés avaient déjà été accrochés dans les arbres fin juillet. Puis, début août, ce sont des cris de rapaces qui étaient diffusés par haut-parleurs à la tombée de la nuit et au lever du soleil, pendant qu’un agent de la ville agitait un cerf-volant en forme de faucon. La deuxième action était quand même un peu plus efficace », explique Yasmina Chadli, élue référente du quartier du Port-du-Rhin. Une partie des étourneaux étaient partis, mais un groupe s’est déplacé dans d’autres arbres du secteur ». Créer un sentiment d’insécurité L’ultime solution, d’après le plan d’actions concocté avec l’aide de la LPO Ligue de protection des oiseaux, était alors de faire appel à des fauconniers. Pendant trois soirs d’affilé, nous créons un sentiment d’insécurité pour les étourneaux à l’aide de nos deux rapaces », détaille Alexis Vignon, de la société Phoenix effarouchement. Cris, fientes sur les voitures et mauvaises odeurs… depuis plusieurs années, les étourneaux sont devenus la bête noire des habitants du Port du Rhin. Photo Jean-François Badias En effet, les buses de Harris sont des prédateurs des étourneaux en milieu naturel. Le but n’est pas de les attraper, mais seulement de les effrayer pour les empêcher de se poser et les forcer à continuer leur migration », souligne le fauconnier. Ainsi, dès le deuxième soir, les étourneaux semblaient avoir déserté leur dortoir principal situé rue Migneret. Restait alors à les empêcher de se poser ailleurs dans la ville, ou de revenir au Port du Rhin. Une centaine d’entre eux a néanmoins tenté de s’y installer à nouveau mercredi soir », précise Alexis Vignon. Mais cette fois, sans succès. Camille Battinger Si vous avez apprécié cette publication, partagez-là avec vos amis et connaissances ! Si vous souhaitez être informé dès la parution d’un nouvel article, Abonnez-vous ! C’est simple et, naturellement, gratuit ! Lecerf volant rapace est un effaroucheur de la gamme visuel, très bon dispositif pour effaroucher les oiseaux, il peut être monté sr un mât rotatif de 4 mètres ou 7 mètres. d'une envergure de 1.8 metres il peut couvrir une surface de 4 hectares. Idéale, pour faire fuir les corbeaux, les pigeons, les étourneaux, mouettes et goélands et Rendez-vous avec les oiseaux du 5 décembre 2018 à La Meauffe Nous sommes 6 ce matin au lieu-dit "La Germainerie" à La Meauffe. La météo n'est une nouvelle fois guère engageante avec ce temps grisâtre qui procure peu de lumière et ne favorise guère l'observation. La pluie nous sera épargnée le temps de la sortie. Plate-forme de l'ancienne carrière Nous sommes sur un site particulier puisqu'il s'agit de l'emplacement d'une ancienne carrière et de fours à chaux dont l'exploitation est arrêtée depuis de nombreuses années. Une partie du site est un espace naturel sensible géré par le département, les fours à chaux étant un lieu exceptionnel de reproduction des chauves-souris. La balade débute en longeant l'ancienne plate-forme de la carrière fortement compactée, elle a depuis été recouverte d'une végétation pionnière très carctéristique avec notamment de la cardère. Cette zone en friche est peu fréquentée en ce moment, tout comme la zone de broussailles et de ronces qui la jouxte, très riche au printemps en fauvettes principalement. Il faut donc regarder en l'air pour observer quelques oiseaux grand cormoran, mouette rieuse venant de la baie des Veys, pinson des arbres, pigeon ramier, canard colvert, héron cendré, choucas des tours, corbeau freux et corneille noire. Cependant, des cris qui, à l'amorce, feraient penser à un pic vert nous intriguent ce sont trois limicoles au loin qui se poursuivent ou alarment de la présence d'un intrus. Chevalier à coup sûr mais lequel? Tout laisse penser que ce sont des chevaliers aboyeurs certainement posés sur les rives vaseuses de la Vire. Le terme d'aboyeur correspond tout à fait à ce cri peu discret. Un pipit farlouse alarmé s'envole. Rougegorge familier en bord de Vire Nous nous arrêtons au bord du plan d'eau qui s'est formé dans l'excavation de la carrière. Peu d'oiseaux sont présents à part quelques mésanges bleue et charbonnière. Nous pénétrons dans une des galeries des fours à chaux. Une ouverture donne vision sur une zone boisée humide traversée par un ruisseau on entend la mésange nonnette et le grimpereau des jardins. Au niveau d'une plate-forme, nous distinguons avec difficulté quelques grives mauvis qui se révèleront ensuite très présentes sur tout le secteur visité. Un rougegorge familier est tout proche et le chant de l'accenteur mouchet sort du bois voisin. Haut dans les frondaisons, la mésange à longue queue pousse ses petits cris répétés ; elle n'est pas la seule. En longeant le chemin qui mène vers la rivière, les deux roitelets apparaissent , un roitelet à triple-bandeau et quelques roitelets huppés. Nous passons sous un pont de chemin de fer pour rejoindre la Vire. Nous entendons de loin le gazouillis sans fin des étourneaux sansonnets perchés dans un peuplier à proximité d'une ferme en rive gauche. On observe dans la végétation des rives les mouvement du troglodyte mignon et de quelques mésanges. Un martin-pêcheur était perché sur la rive opposée. Jamais familier, il s'envole et va se percher une centaine de mètres plus loin. Un pic épeiche crie puis va se percher un peu plus loin. Ce peut être un jeune puisque la calotte a paru bien colorée de rouge. Au bord du plan d'eau, peu d'oiseaux. Le chemin de halage a été modifié et retracé quelques mètres à droite à cause de l'érosion naturelle des berges. La rangée d'arbres connue se trouve maintenant à gauche du chemin. Un grimpereau des jardins explore successivement les troncs de ces arbres. Au-delà d'une grande prairie humide, on aperçoit un vaste verger de pommiers et comme par hasard quelques grives litornes décollent et nous survolent. Cette espèce de grosse grive est familière des vergers et aussi des prairies grasses. La rangée de peupliers où le gui prospère accueille une ou deux grives draines spécialistes de cette plante c'est le cri roulé et fort qui permet d'identifier l'espèce. En vol, le dessous des ailes est blanc et l'oiseau ferme longuement ses ailes. Une légère pluie et la montre nous font rebrousser chemin. Au retour, nous apercevons posé et en vol un chardonneret élégant isolé. C'est curieux parce que cet oiseau explore souvent en groupes ce type de milieu. Une buse variable sera le seul rapace observé en deux heures. Nous regagnons les voitures. L'échange entre les participants se poursuit et permet de voir en vol plusieurs espèces, quelques tarins des aulnes, bouvreuils pivoines 3 et aussi d'entendre un verdier d'Europe. La présence de ces oiseaux mangeurs de graines montrent bien l'attractivité de ces zones peu entretenues ou en évolution libre prairies humides, friches, buissons, fourrés, boisement humide sont des sources d'alimentation pour les granivores et aussi pour les insectivores puisque nous entendrons aussi le pouillot véloce, hivernant dans les bosquets de saules. Malgré la lumière basse et le temps chagrin, 36 espèces ont été observées. Elles ont été, cependant, plus souvent entendues que vues. On retrouve évidemment la base des oiseaux communs de Normandie mais le nombre relativement élevé d'espèces permet une nouvelle fois de constater la richesse d'une zone constituée de milieux différents et relativement préservés. Une autre visite au printemps sera intéressante parce qu'on trouvera dans la liste les oiseaux migrateurs, comme les fauvettes spécialistes des fourrés et buissons et d'une strate arbustive basse et les pouillots Vue sur zone boisée humide dans une galerie de four à chaux . Liste des espèces accenteur mouchet, alouette des champs, bouvreuil pivoine, buse variable, canard colvert, chardonneret élégant, chevalier aboyeur, choucas des tours, corbeau freux, corneille noire, étourneau sansonnet, geai des chênes, grand cormoran, grimpereau des jardins, grive draine, grive litorne, grive mauvis, grive musicienne, héron cendré, martin-pêcheur, mésange à longue queue, mésange bleue, mésange charbonnière, mésange nonnette, mouette rieuse, pic épeiche, pie bavarde, pipit farlouse, pouillot véloce, poule d'eau, roitelet à triple-bandeau, roitelet huppé, rougegorge familier, tarin des aulnes, troglodyte mignon, verdier d'Europe. Espèce remarquable en rouge Animation publique du 25 novembre 2018 à Saint-Lô Cette animation aurait pu tomber à l'eau, des pluies abondantes étant tombées pendant la nuit et au matin mais heureusement, une accalmie se produit dès le début de l'animation. 9 personnes sont présentes, pour la plupart adhérentes. Les prévisions météorologiques ont sans doute fait renoncer d'autres personnes. Future maison du technopôle quelques jours avant. Nous sommes sur le site de l'Agglo 21, site aménagé pour accueillir des entreprises. Pour l'instant, deux parcelles sont occupées et construites ou en voie de l'être, l'une par le CFA-Groupe FIM et l'autre par la future maison du technopôle en chantier actuellement. Ce site comprend donc des zones construites, des zones viabilisées, parkings bitumés séparés par des murets et des haies de feuillus desservis par une rue et de vastes zones à nu ou en friche. Sur les parcelles encore en friche, plus ou moins compactées, on trouve toutes sortes de plantes pionnières dont les graines vont particulièrement intéresser les oiseaux chénopode, armoise, séneçon, molène, tanaisie, cirse, chardon et diverses apiacées. En limite de cette zone de 2 hectares, des haies traditionnelles du bocage sur talus chêne et frêne principalement bordent des prairies ou quelques cultures. Rougegorge sur groupe FIM, bâtiment perchoir Une trentaine de canards colverts survole le groupe, provenant du plan d'eau voisin et se dirigeant vers le nord. Une mésange charbonnière s'agite dans un jeune chêne. Les mésanges circulent régulièrement dans ces jeunes éléments à la recherche de quelque araignée ou petits insectes. Les mésanges bleues sont aussi présentes mais en petit nombre. Le pied des jeunes haies de charmes ou d'érables sont explorés par les rougegorges familiers, les accenteurs mouchets et aussi les merles noirs et les grives musiciennes. Deux d'entre elles très discrètes et farouches passent d'une haie à l'autre et rejoignent vite le couvert. On entend l'inquiétude du troglodyte mignon qui se montre à peine. Le déplacement d'un groupe fait facilement réagir les oiseaux. Les chénopodes ont poussé et fané et forment des touffes qui émergent d'une partie fortement compactée. Une végétation dispersée finit en effet par sortir tout de même de cette partie compactée. C'est là que les pipits farlouses se rassemblent à la recherche de quelques graines tombées. Un pied de chénopode commun peut fournir 70 000 graines qui font le bonheur de nombreux oiseaux à l'arrière saison. Zone compactée à chénopodes pour les pipits Nous continuons à traverser la zone. Deux bergeronnettes de Yarrell picorent sur une rue bitumée. Nous suivons des friches herbeuses il y a un peu d'agitation non loin d'une aubépine. Quelques grives musiciennes l'une d'elles s'essaiera au chant à couvert et des merles s'affairent à manger ses fruits qui peuvent attirer aussi l'accenteur le rougegorge ou la charbonnière quand ils sont bien mûrs. Des groupes de chardonnerets élégants descendent dans la végétation sur les cirses et les laiterons. Nous descendons un peu en contrebas un héron cendré est posé sur une vaste prairie un autre individu le rejoint un peu plus tard. Notre passage fait fuir une bande de quelques grives litornes, reconnaissables à leur grande taille, leur longue queue grise et leur vol un peu lourd. Nous entamons la descente vers le plan d'eau. Au loin puis au-dessus de nous des vanneaux huppés nous survolent sensibles aux vagues de froid nordiques, ils sont visibles tôt cet automne. Stationnés à l'entrée de la prairie au héron , nous observons l'envol bref vers une haie plus lointaine de grives mauvis, pas loin d'une centaine et de deux geais des chênes qui se dissimulent dans le vol des grives et aussi quelques étourneaux. Bergeronnette de Yarrell Le groupe parvient au plan d'eau des Ruinières dont le niveau est très bas. On peut imaginer que le niveau a été abaissé pour effectuer des travaux sur la zone humide aval les saules qui formaient un des deux bosquets du secteur ont été complètement arasés. Néammoins, on y voit à proximité des espèces familières des lieux, mésange nonnette, mésange à longue queue et roitelet à triple-bandeau. Les mouettes rieuses et le grand cormoran sont eux aussi des habitués du plan d'eau pour le repos le plus souvent. On entend un cri d'envol connu puis on distingue sur l'oiseau en vol le croupion blanc typique du chevalier culblanc. Cette espèce de limicole hiverne au bord de pièces d'eau plus ou moins importantes, du moment qu'elles ont des rives vaseuses pour se nourrir. dans un jardin proche, nous avons le temps de scruter les évolutions fantaisistes d'un roitelet huppé dans un cerisier. Nous remontons ensuite vers notre point de départ. Presqu'arrivés au parking, nous sommes survolés par deux linottes mélodieuses qui, elles aussi, aiment ces zones plus ou moins nues où plantes rudérales et adventices fournissent des graines. Le bruant zizi est à peine visible perché dans un jeune chêne heureusement, il pousse son chant, sorte de cri roulé. Buse variable sur son poteau Nous opérons un bref récapitulatif des espèces observées 32 espèces ont été vues, quelques espèces des espaces bâtis, d'autres des espaces agricoles et enfin des espèces forestières. Cette sortie a permis de constater l'intérêt en hiver de zones comme celles-ci pour les espèces mangeuses de petites graines la linotte mélodieuse, le chardonneret élégant, le pipit farlouse et le bruant zizi. Pendant la palabre qui termine toute sortie, nous apercevons une buse perchée sur la clôture du terrain de rugby voisin , seul rapace de la matinée ces zones dégagées entourées de haies perchoirs sont idéales pour la chasse . Un bouvreuil pivoine discret est entendu. Liste des espèces accenteur mouchet, bergeronnette de Yarrell, bruant zizi, buse variable, canard colvert, chardonneret élégant, chevalier culblanc, corneille noire, étourneau sansonnet, geai des chênes, grand cormoran, grive litorne, grive mauvis, grive litorne, héron cendré, linotte mélodieuse, merle noir, mésange à longue queue, mésange bleue, mésange charbonnière, mésange nonnette, moineau domestique, mouette rieuse, pigeon ramier, pinson des arbres, pipit farlouse, rougegorge familier, roitelet à triple-bandeau, roitelet huppé, troglodyte mignon, vanneau huppé. De nombreux chardonnerets dans les jumelles Reconnaissez-les derrière leurs jumelles Patrick Poitevin Prochaines sorties Mercredi 5 décembre 2018 LA MEAUFFE Prospection pour l'atlas des hivernants RDV 8h45 bas du parking des remparts, rue des noyers, Saint-Lô ou 9h00 mairie de la Meauffe Mercredi 9 janvier 2018 SAINT-LÔ Les oiseaux de la baie des Veys Départ 9h parking de la place Sainte-Croix Saint-Lô pour se rendre à Geffosses-Fontenay Rendez-vous avec les oiseaux du 14 novembre 2018 à Saint-Pierre de Sémilly Les adhérents s'étaient donné rendez-vous sur la place du village. Un soleil radieux magnifiait les couleurs automnales entourant les deux étangs de Saint-Pierre de Sémilly. Quelques chardonnerets élégants circulent ainsi que des choucas des tours très présents dans le village et sur le château voisin et un groupe d'une cinquantaine d'étourneaux en vol vers l'ouest. Un premier rougegorge familier est vu puis un autre entendu en descendant le petit chemin qui surplombe le premier étang. Au bas de ce chemin, de grands platanes, des chênes et des châtaigniers centenaires attirent les oiseaux la sittelle torchepot circule haut dans les feuillages, la mésange à longue queue en petit groupe également, une mésange bleue est aussi entendue ainsi qu'une bergeronnette des ruisseaux familière de ces zones humides et des pinsons des arbres . Il est temps de jeter un oeil sur l'étang alors que résonne le premier chant sonore du troglodyte mignon. Les foulques macroules sont présentes mais en nombre réduit quelques couples se reproduisent sur les étangs à la saison de reproduction mais des groupes plus importants peuvent être observés pendant la période de migration ou pendant certaines périodes de froid. La poule d'eau est présente également mais assez discrète sous les branchages retombant dans l'eau. Un petit groupe de mouettes rieuses est au repos posées sur l'eau ou des branches basses, certaines sont des immatures reconnaissables à l'extrémité de la queue noire. Dans le groupe, nous distinguerons plus tard un goéland argenté immature 3ème année. 2 grands cormorans familiers des lieux nous survolent ; les grands futaies de hêtres leur servent de perchoir de repos ou de dortoir 11 ont été vus un peu plus tôt en vol. Le dortoir n'est pas stable, les cormorans pouvant fréquenter d'autres dortoirs plus importants et certainement plus sécurisants. Une aigrette garzette survole l'étang puis va se poser discrètement sur la rive. Nous dénombrons 79 canards colverts cet effectif est stable puisqu'il a déjà été enregistré les années précédentes. Un verdier d'Europe pousse son cri roulé au loin, du côté du village. Nous continuons le tour des étangs le pic épeiche et le pic vert se manifestent par leurs cris plus ou moins proches. Il faut dire que ces deux pics trouvent ici tout le vieux bois qui peut les intéresser. En queue du deuxième étang envasé et un peu envahi par la végétation, le pouillot véloce se balade dans les saules en poussant son cri sifflé. Est-ce un pic noir qui pousse son cri long et plaintif entendu au loin? Cela y ressemble mais ce n'est pas certain car un geai des chênes criaille à proximité, un peu après c'est peut-être lui l'auteur de cette manifestation sonore qui énerve les corneilles noires. Nous empruntons un sentier escarpé qui nous mène vers les restes du château médiéval XI ème siècle bonne idée parce qu'un roitelet à triple-bandeau s'active dans la végétation grimpant sur les murailles! Nous redescendons vers la route en passant près du déversoir du premier étang qui, habituellement à cette saison, est difficilement franchissable les pinsons sont assez nombreux. Il est vrai que le sol est couvert d'un tapis de faînes particulièrement appréciées par l'espèce. Un grimpereau des jardins est entendu mais reste invisible et une mésange charbonnière cherche quelque araignée sous les feuilles de châtaigniers ou de hêtres. Nous remontons la route vers le château Renaissance, une belle bâtisse avec d'intéressantes fenêtres à meneaux. Là nous entendons quelques moineaux qui trouvent sûrement leur nourriture auprès de la ferme, nous apercevons brièvement une bergeronnette des ruisseaux perché sur le faîte d'un toit puis une bergeronnette grise ou de Yarrell. Le château est aussi fréquenté par des pigeons domestiques et quelques pigeons ramiers. Aigrette garzette, mouette rieuse et colvert L'atmosphère se réchauffant permet aux buses variables de s'élever un peu et tournoyer dans le ciel à faible hauteur. Des mésanges à longue queue profitent d'une aubépine et quelques accenteurs explorent le sol d'une allée. C'est au bout de 2 heures que se manifeste le premier merle noir ; cette grande discrétion de l'espèce prouve bien l'effet du virus qui touche actuellement ses populations. Nous constatons de plus l'absence des grives musicienne et draine, elles aussi vraisemblablement affectées par ce virus. La sortie s'achève riche de ses échanges qui ne sont pas toujours ornithologiques d'ailleurs et c'est tant mieux. Il est temps d'établir le bilan. Malgré l'absence des grives et du bouvreuil pivoine, 35 espèces ont pu être observées et près de 200 oiseaux décomptés. La conjonction de milieux bâtis, de milieux boisés et de zones humides amène une grande diversité d'espèces et la proximité de l'hiver explique le grand nombre d'oiseaux observés groupes de canards, de mouettes notamment . A noter que le lendemain, une visite permet de repérer la grande aigrette coutumière des lieux mais pas vue ce jour. Mouettes rieuses Images Patrick Potevin Liste des espèces accenteur mouchet, aigrette garzette, bergeronnette grise ou de Yarrell, bergeronnette des ruisseaux, buse variable, canard colvert, chardonneret élégant, choucas des tours, corneille noire,étourneau sansonnet, foulque macroule, geai des chênes, goéland argenté, grand cormoran, grimpereau des jardins, héron cendré, merle noir, mésange à longue queue, mésange bleue, mésange charbonnière, moineau domestique, mouette rieuse, pic épeiche, pic vert, pie bavarde, pigeon ramier, pinson des arbres, pouillot véloce, poule d'eau, rougegorge familier, sittelle torchepot, tourterelle turque, troglodyte mignon,verdier d'Europe Les événements à venir Réunion des adhérents Mardi 20 novembre 2018 20h salle Alain Fournier , maison des associations, rue des charmilles, Saint-Lô Prochaines sorties Dimanche 25 novembre 2018 SAINT-LÔ Animation publique Les oiseaux hivernants d'une zone en cours d'aménagement Rendez-vous 9h30 rue des ronchettes, parking de l'agglo 21 Saint-Lô Mercredi 5 décembre 2018 LA MEAUFFE Rendez-vous avec les oiseaux sortie mensuelle des adhérents Prospection des hivernants de la carte atlas. 9h00 mairie de La Meauffe. 8h45 covoiturage, parking au pied des remparts, rue des noyers, Saint-Lô prévoir un peu d'avance, nous partons à 8h45 Animation du 28 octobre 2018 à Marchésieux Les prévisions météorologiques annoncées ont certainement dissuadé certaines personnes de se rendre au rendez-vous fixé à la maison des marais à 11h. 12 personnes sont néammoins présentes dont 4 jeunes qui ont bien contribué à l'animation de la balade. La sortie a pu se dérouler malgré la gêne provoquée par un vent assez soutenu par moments. Une très légère averse a malgré tout fait rebrousser chemin au groupe. Une quinzaine d'espèces ont été observées c'est un nombre assez restreint causé à la fois par des conditions météorologiques peu favorables et aussi par une heure tardive. 4 espèces liées au marais ont été observées le pipit farlouse, petit passereau au bec fin d'insectivore souvent au sol pour chercher sa nourriture, le traquet pâtre, passereau un peu rondelet perché souvent à découvert sur une végétation maigre ou un piquet, le canard colvert qui trouve dans les limes un peu d'eau libre pour se nourrir et se reposer et l'alouette des champs oiseau au vol souvent élevé auxquels les parcelles labourées ou humides conviennent en hiver peuvent être observés dans des milieux différents de celui-ci. L'alouette des champs et le pipit farlouse se reproduisent dans le marais mais il est plus probable qu'on est à faire ici à des migrateurs venus du nord de l'Europe. 2 espèces de rapaces ont été notées ; le faucon crécerelle en vol du Saint-Esprit et une buse variable houspillée par une corneille. Dans cette zone de jonction entre marais et bocage, la présence de ces deux espèces n'est pas surprenante. Toutes les deux ont besoin de perchoirs plus ou moins élévés et de zones découvertes pour chasser leurs proies. Aucun échassier de type héron héron cendré ou aigrette n'a été vu pendant la sortie. 3 espèces de grive se sont manifestées 1 sédentaire la grosse grive draine reconnaissable à son vol très onduleux et un peu lourd et deux hivernantes , la grive mauvis et la grive litorne une petite bande de 10 de cette dernière espèce passe au loin. On distingue la longue queue grise de l'oiseau en vol. Ces trois espèces ne sont pas particulièrement liées aux zones humides la draine est très liée au peuplier et les deux autres apprécient les terres fraîches qui leur permettent de trouver le sinvertévrés dont elles se nourrissent? Souvent un verger de pommiers une aubèpîne en fruits suffisent à les rassasier. Cette sortie relativement courte a permis de constater les interactions des oiseaux entre un milieu bocager composée de grandes parcelles bordées de haies et le marais, zone découverte offrant peu d'abris et de perchoirs mais un potentiel de nourriture important pour certaines espèces . Liste des espèces accenteur mouchet, alouette des champs, bergeronnette grise ou de Yarrell, buse variable, canard colvert, choucas des tours, corneille noire, étourneau sansonnet, faucon crécerelle, grive draine, grive litorne, grive mauvis, mouette rieuse, pigeon ramier, pinson des espèces notées avant la sortie bouvreuil pivoine, merle noir, mésange bleue, rougegorge familier, troglodyte mignon Rendez-vous avec les oiseaux du 3 octobre à Cricqueville-en-Bessin 14 Nous avons mis en place depuis quelques mois des sorties mensuelles pour les adhérents, intitulées "Rendez-vous avec les oiseaux". Elles se déroulent en général le premier mercredi de chaque mois. Destinées en premier lieu aux nouveaux adhérents, elles permettent, en compagnie d'observateurs plus aguerris, de s'initier ou de progresser dans la connaissance des oiseaux, de créer des liens avec d'autres adhérents et surtout d'échanger sur la nature. Ces sorties se veulent un peu informelles, chaque participant y contribue à sa manière. Ca passe? Ce rendez-vous s'est déroulé sur les falaises du Bessin à l'ouest du site historique de la Pointe du Hoc. Ce site est un lieu privilégié de l'observation de la migration post-nuptiale des oiseaux marins notamment. Des observateurs y sont postés là très régulièrement pendant cette période de septembre à novembre pour dénombrer le passage. Ce matin, Gilbert Vimard, un des observateurs attitrés du site est présent il nous apportera avec Alain Brodin de précieuses informations sur les techniques d'observation, les oiseaux observés et leur migration. C'est déjà passé! Une belle douceur règne ce matin avec un vent faible cependant peu favorable à la migration. Ce qui surprend dans un premier temps est que les oiseaux passent assez loin du rivage. Seule, une pratique régulière et ancienne du guet à la mer permet de repérer l'arrivée des oiseaux et leur identification. Comme ce matin, le passage est faible, il est possible de s'attarder sur chaque espèce. Le mouvement des oiseaux se fait logiquement d'est en ouest mais on peut observer également des mouvements inverses. En arrivant, nous observons sur les chaumes deux faucons crécerelles, l'un étant posé sur une courte tige de maïs coupée. A peine arrivés sur la falaise, nous entendons crier un faucon pèlerin et nous le voyons déboucher sur notre gauche avec une proie dans les serres qu'il est impossible d'identifier. Ce peut être un limicole comme un passereau. La falaise offre un large champ de vision de la pointe du Hoc à l'est jusqu'à la pointe de Barfleur au nord-ouest. Les cormorans passent plus près du rivage Nous allons observer successivement le passage de plusieurs espèces en vol direct vers l'ouest. La bernache cravant passe par groupes plus ou moins importants il en sera observé 87 dans la matinée. La plus grande partie appartient à la sous-espèce bernache à ventre sombre Branta bernicla bernicla qui niche dans la toundra sibérienne. On peut voir posé au loin un grèbe huppé cette espèce peut être nombreuse à cet endroit. Les sternes passent aussi on peut les distinguer de loin par leurs longues ailes pointues, leur vol parfois irrégulier et la brillance du gris des ailes qui paraît presque blanc dans le soleil. L'espèce la plus commune au passage est la sterne caugek avec son bec noir à l'extrémité jaune, le vol est assez puissant et à une certaine hauteur. Le cri grinçant de l'oiseau est typique. L'autre espèce aperçue, de loin, est la sterne pierre-garin plus petite que la caugek, au bec rouge terminé par du noir. Les observateurs expérimentés la distinguent au vol et à la morphologie filets de la queue plus longs de la sterne arctique qui lui ressemble beaucoup mais a le bec entièrement rouge. Héron cendré sur le platier Le site est idéal pour s'initier aux labbes, ces gros oiseaux marins de tonalité sombre qui parasitent les autres espèces d'oiseaux pélagiques oiseaux qui vivent en mer. Ce matin, nous observerons 3 espèces différentes. Le grand labbe est un oiseau au corps puissant un peu plus compact que le goéland argenté qui se distingue par sa tâche blanche sur les primaires visible généralement de loin. Deux autres labbes passeront ensemble au large le labbe parasite et le labbe pomarin. Le labbe parasite est plutôt fin avec une allure qui pourrait rappeler un rapace on peut le voit harceler en vol sternes et mouettes pour subtiliser leurs proies. Le labbe pomarin est proche du parasite mais difficile à distinguer de celui-ci. Une des espèces les plus abondantes ce matin est le fou de Bassan qui passe régulièrement au large en groupes plus ou moins denses composés de jeunes, d'immatures et d'adultes. L'observation à cette période correspond plus à une migration d'oiseaux britanniques que de trajets quotidiens vers les zones de pêche. Une autre espèce sera un tant soit peu observé est la macreuse noire, en vol de quelques individus. Les groupes sont constitués pour l'essentiel de mâles. C'est la fin de la période de mue. Si à l'approche d'un bateau, un oiseau plonge, cela signifie qu'il est en mue. D'autres oiseaux marins seront observés cependant dont les mouettes rieuses et des mouettes mélanocéphales proche de la rieuse qui paraît blanche de loin à cause de son manteau gris clair. L'adulte n'a pas de noir sur les ailes. N'oublions pas les cormorans et goélands. Un huîtrier-pie crie ; posé dans les rochers, il s'envole vers l'est. Le seul autre canard que la macreuse noire observé ce matin est le tadorne de Belon 3 volent vers l'ouest. Reviennent-ils de la mer de Wadden où les tadornes se rendent chaque année pour muer? L'observation au guet à la mer se termine nous faisons un petit tour sur le plateau pour observer les passereaux présents. 2 tariers pâtres sont perchés au-dessus des buissons qui dominent la falaise. Alouette des champs, pipit farlouse, linotte mélodieuse et bergeronnette grise ou Yarrell décollent du chaume de maïs. Sur le platier au pied de la falaise, aigrette garzette et héron cendré se regardent de travers en concurrence pour la recherche de nourriture. La corneille noire se nourrit aussi dans les rochers et les algues. Un phoque veau marin s'approche du rivage une importante colonie existe en Baie des Veys. La sortie se termine par un dernier coup d'oeil vers le large. Les mouvements d'oiseaux ont considérablement baissé et concernent les oiseaux marins habituels, cormorans et laridés. Merci à Gilbert et Alain pour le partage des connaissances. Espèces observées 26 accenteur mouchet, alouette des champs, bernache cravant, corneille noire, faucon crécerelle, faucon pèlerin, fou de Bassan, goéland argenté, goéland marin, grand cormoran, grèbe huppé, grand labbe, héron cendré, labbe parasite, labbe pomarin, huîtrier-pie, linotte mélodieuse, macreuse noire, mouette mélanocéphale, mouette rieuse, pipit farlouse, rougegorge familier, sterne caugek, sterne pierregarin, tadorne de Belon, tarier pâtre. Programme annuel des rendez-vous Date Thème Lieu Horaire Lieu de rendez-vous 14/11/2018 Les oiseaux des étangs de Saint-Pierre oiseaux des zones humides Saint-Pierre-de-Sémilly Les étangs 9h00 Place de l’église Saint-Pierre de Sémilly 05/12/2018 Oiseaux des anciens fours à chaux oiseaux bocagers des buissons La Meauffe La Germainerie 9h00 Parking de la mairie La Meauffe ou 8h45 parking rue des noyers sous les remparts Saint-Lô 09/01/2019 Oiseaux hivernants de la baie des Veys limicoles, hérons et laridés Geffosses-Fontenay 9h00 9h00 Place Sainte-Croix Saint-Lô pour covoiturage. 06/02/2019 A l’écoute des premiers chanteurs Agneaux Parc de la Palière 9h00 9h00 parking de la Mairie Agneaux 03/04/2019 Nidification de la cigogne blanche et oiseaux du marais Saint-Fromond Château de la Rivière 9h00 Parking piscine Saint-Lô pour covoiturage 9H30 sur place au château de la Rivière ?/05/2019 Les oiseaux du marais au printemps. Le coucou est-il arrivé ? Le Hommet d’Arthenay Marais du Hommet ou de la Garderie 9h00 Parking piscine Saint-Lô pour covoiturage 05/06/2019 A la recherche de l’engoulevent Millières Plan d’eau des bruyères 19h00 Parking piscine Saint-Lô pour covoiturage Prévoir pique-nique Date Thème Lieu Horaire Lieu de rendez-vous 14/11/2018 Les oiseaux des étangs de Saint-Pierre oiseaux des zones humides Saint-Pierre-de-Sémilly Les étangs 9h00 Place de l’église Saint-Pierre de Sémilly 05/12/2018 Oiseaux des anciens fours à chaux oiseaux bocagers des buissons La Meauffe La Germainerie 9h00 Parking de la mairie La Meauffe ou 8h45 parking rue des noyers sous les remparts Saint-Lô 09/01/2019 Oiseaux hivernants de la baie des Veys limicoles, hérons et laridés Geffosses-Fontenay 9h00 9h00 Place Sainte-Croix Saint-Lô pour covoiturage. 06/02/2019 A l’écoute des premiers chanteurs Agneaux Parc de la Palière 9h00 9h00 parking de la Mairie Agneaux 03/04/2019 Nidification de la cigogne blanche et oiseaux du marais Saint-Fromond Château de la Rivière 9h00 Parking piscine Saint-Lô pour covoiturage 9H30 sur place au château de la Rivière ?/05/2019 Les oiseaux du marais au printemps. Le coucou est-il arrivé ? Le Hommet d’Arthenay Marais du Hommet ou de la Garderie 9h00 Parking piscine Saint-Lô pour covoiturage 05/06/2019 A la recherche de l’engoulevent Millières Plan d’eau des bruyères 19h00 Parking piscine Saint-Lô pour covoiturage Prévoir pique-nique Animation du 23 septembre 2018 au Pôle hippique de Saint-Lô Le seul nid d'hirondelle rustique se trouvait dans le bâtiment de droite 2018 Un temps pluvieux et venteux s'étant installé la veille sur la région, il fallait craindre le pire pour cette animation. Elle a pu pourtant se dérouler presque normalement en présence de 7 personnes qui avaient vaillamment défié les éléments. La pluie n'a véritablement gêné l'observation qu'en fin de sortie où il a fallu s'abriter sous de vieux arbres ou dans les écuries du haras. Le site du pôle hippique est un refuge de nature GONm et tout au long de la sortie, nous verrons quels aménagements ou mesures d'entretien favorables à la vie sauvage ont été mis en place. Malgré la météo médiocre, les oiseaux se sont tout de même manifestés et les participants ont pu observer 28 espèces ce chiffre correspond sensiblement au nombre d'espèces qu'il est envisageable de rencontrer à chaque visite. C'est sous les cris répétés d'une corneille noire certainement dérangée par un intrus et perchée à sommet d'un conifère que débute la sortie. Les pas se portent vers la partie centrale du haras qui offre une vue dégagée sur les bâtiments, les pelouses et les allées. Le cri d'un oiseau en vol "pi-pit pi-pit " permet de repérer au-dessus de nous un pipit farlouse volant vers le sud, certainement en migration. Nous observons les nids abandonnés des hirondelles de fenêtre installés sur les sablières des bâtiments. Les hirondelles de fenêtre ont quitté le site depuis 10 jours à eu près. Une autre hirondelle est vue en vol celle-ci est une hirondelle de cheminée volant avec difficulté contre le vent en direction du sud. Les hirondelles les plus tardives dans leur migration sont souvent observées à l'unité ou par deux ou trois. Le flux migratoire de ces espèces va se tarir peu à peu en fin septembre. Perchoir idéal pour le faucon crécerelle 2017 Un faucon crécerelle est en chasse sur les pelouses ou les allées il plonge d'un des ses perchoirs pour attraper quelque proie ce peut être un micro-mammifère ou un gros insecte. Il retourne se percher sur le rebord de l'encadrement d'une ouverture du bâtiment des écuries. Une bergeronnette grise devait arpenter une des pelouses à la recherche d'insectes et de larves car on l'entend pousser son cri à l'envol et on la voit disparaître rapidement à nos regards. Rougequeue noir de septembre 2017 au même endroit qu'en 2018 Un envol rapide d'un toit vers une cheminée puis une antenne permet de repérer un oiseau bien dressé hochant de la tête et de la queue. C'est le rougequeue noir qui est identifiable à sa queue rousse le mâle est gris noir sombre alors que la femelle est beige clair. Ce peut être ici une femelle ou un jeune. Cette espèce se reproduit au haras elle utilise une cavité pour nicher. Espèce migratrice partielle, elle repartira bientôt plus au sud. Quelques pigeons ramiers et domestiques circulent ici et là, les pigeons ramiers de façon isolée ici et les domestiques en groupes de quelques individus. On peut entendre le cri énervé des choucas des tours en vol qui, installés sur les cheminées et bâtiments élevés de la ville, gagnent la campagne pour se nourrir. Bergeronnette grise et jeune en juillet 2018 Nous quittons la partie centrale du haras pour suivre les allées périphériques. Nous arrivons à une zone plantée en résineux principalement. Nous observons deux pinsons des arbres dans des buissons bas où ils se sont réfugiés à notre approche. On entend quelques cris, celui du rougegorge familier du troglodyte mignon caché dans une haie dense et aussi du grimpereau des jardins. Une tourterelle turque chante sur une cheminée ses trois notes habituelles. La tourterelle turque est un oiseau typique des villes et des fermes elle semble subir l'omniprésence du pigeon ramier. On note la présence du merle noir qui pousse son cri d'alarme parce qu'il est dérangé. Les oiseaux comme les merles et les grives sont très discrets à cette période parce qu'ils muent. Après être passés entre le jardin partagé et le local du maréchal-ferrant, nous pénétrons dans une autre zone boisée en vieux arbres feuillus. Nous apercevons deux accenteurs mouchets sur un mur ils font la navette entre le sommet du mur et la prairie à la recherche de petits insectes ou de graines de plantes rudérales. Trois grives draines nous survolent l'une d'elles a poussé son cri roulé en s'envolant. La draine dissémine les graines du gui dont elles mangent les baies. Son nom latin est Turdus viscivorus viscum=gui, mot qui a donné l'adjectif visqueux. Le rire du pic vert retentit par deux fois, une fois émis d'un arbre élevé du parc et une seconde fois de la campagne voisine. Les mésanges jusqu'à présent discrètes se manifestent par leurs cris qui sont voisins et parfois sources d'erreur. La mésange charbonnière accompagne souvent son cri de 3 notes sifflées faciles à identifier cette espèce recommence à chanter en septembre. La mésange bleue a un répertoire beaucoup moins varié. Les deux espèces se côtoient souvent mais ne se concurrencent pas pour la nourriture parce qu'elles ne la cherchent pas à la même hauteur dans la végétation. Une grive musicienne s'échappe d'un fourré. Un pic a foré une cavité bien visible dans un hêtre. Pic épeiche? Rassemblement de jeunes hirondelles de fenêtre 2018 La pluie se met à tomber un peu plus dru. On se met un peu à l'abri pour observer des pinsons qui recherchent de la nourriture sur les pans de toit et aussi un des rares nids d'hirondelle rustique du haras. Une mésange à longue queue passe. Nous nous mettons ensuite à l'abri sous des cèdres et des pins le roitelet huppé Regulus regulus est entendu ses cris sont très discrets. Nous entendons enfin un moineau domestique ils ne sont pas rares ici en période de reproduction mais les jeunes sont dispersés depuis longtemps. Nous en reverrons deux ensuite à l'intérieur des écuries. Un chardonneret élégant est aussi entendu mais reste invisible. Les chardonnerets sont souvent en bandes pendant cette période pré-migratoire tout comme les linottes mélodieuses et les pinsons. Nid de moineau domestique sur une sablière 2018 Pendant le résumé des espèces observées, nous ajoutons deux espèces à la liste après l'observation de goélands argenté et brun volant vers la Vire. Le brun a le dessus des ailes plus sombre que l'argenté et a un liseré blanc à l'arrière de l'aile souvent bien visible en vol. La balade se termine avec ce bilan de 28 espèces observées, un score très honorable pour une météo très pluvieuse. Merci à tous les participants pour leur écoute et leur curiosité. Merci à Joëlle pour la prise de notes bien pratique pour établir ce compte-rendu. Comme aucune photo de groupe n'a été faite, nous citerons les prénoms des participants Joëlle, Loïse, Nadège, Paul, Philippe, Quentin, Thérèse. Les images d'illustration ont toutes été prises au pôle hippique en 2017 et 2018 par Jean-Yves Dilasser faucon crécerelle et rougequeue noir et par Philippe Gachet. Et aussi, les espèces observées par ordre d'apparition à l'écran linotte mélodieuse, corneille noire, pigeon ramier, faucon crécerelle, pigeon domestique, hirondelle rustique, rougequeue noir, bergeronnette grise, pinson des arbres, choucas des tours, troglodyte mignon, rougegorge familier, accenteur mouchet, merle noir, grimpereau des jardins, tourterelle turque, grive draine, mouette rieuse, pic vert, mésange bleue, mésange charbonnière, grive musicienne, mésange à longue queue, roitelet huppé, chardonneret élégant, moineau domestique, goéland brun, goéland argenté. Hirondelle de fenêtre au nid en août 2018 Prochaine sortie des adhérents Saint-Lô, la migration des oiseaux marins mercredi 3 octobre 2018, 8h00 parking Place Sainte-Croix, déplacement vers Cricqueville-en-Bessin 14 Prochaine animation publique Marchésieux Oiseaux entre marais et bocage 28 octobre 2018 11h Rv à l'entrée de la maison des marais, animation organisée avec l'ADAME dans le cadre de la fête de la Citrouille. Animation du 6 juin 2018 à Granville Les goélands nicheurs de Granville C'est après quelques hésitations que nous nous sommes rendus de Saint-Lô à Granville. La météo annoncée n'était guère réjouissante. Cependant, arrivés devant l'église Saint-Paul, nous avons constaté que certes le ciel était gris presque brumeux mais qu'il ne pleuvait pas. Le lieu est idéal pour découvrir les goélands granvillais confortablement installés sur les toits et près des chapeaux de cheminée de la ville. Du parking, on surplombe toute la cité, ce qui permet d'avoir un aperçu complet de cette occupation. Jacques présente les différentes phases de la reproduction. Jacques nous a présenté le processus de nidification des trois espèces occupant l'espace sécurisé des toits de la ville goéland argenté, goéland marin et, en très moindre mesure, le goéland brun. Nous avons pu observer certaines des phases de la reproduction parades, couvaison et poussins plus ou moins développés. Du point de vue qui est le nôtre, le spectacle est garanti et nous pouvons observer de petites scènes du quotidien du goéland nicheur. Les goélands argentés semblent avoir un goût immodéré pour les cables d'antenne de télévision que certains malaxent pour faire les importants devant des importuns. Un de ces cables d'ailleurs sert de limite à ne pas franchir pour un argenté. Certains transportent des matériaux vers leur nid pour les retirer bizarrement ensuite. D'autres, peut-être célibataires, restent perchés de longues minutes à proximité des nids et sont bruyamment houspillés par leurs titulaires ou bien prennent des brindilles dans leur bec sans but précis. La variété des cris est importante et l'on passe facilement d'un silence relatif qui permet d'entendre les cris aigus des jeunes à un brouhaha intense correspondant souvent à un envol collectif. La tension retombe ensuite rapidement. Les nids sont installés de façon assez sommaire sur les cheminées et sur les toits plats ou à pente modeste des bâtiments. Jacques nous a ensuite présenté les opérations de stérilisation menées par la ville de Granville. Le rôle de l'observateur expert est important parce qu'il permet d'éviter les bavures, notamment la stérilisation des nids des goélands brun et marin qui sont exclus de la procédure. L'emplacement des nids est relevé avec une grande précision permettant d'éviter les erreurs. Rougequeue noir mâle très urbain D'autres espèces sont observées pendant ce temps le rougequeue noir chante la femelle est très active allant des toits à sa cavité dans un mur de soutènement de ce quartier très minéral de la ville. Cette espèce est bien présente dans tout Granville. Un couple d'étourneau sansonnet s'est installé dans un chapeau de cheminée et nourrit. Les choucas des tours occupent eux aussi les cheminées. Le verdier d'Europe chante tout comme l'accenteur mouchet discrètement dans un recoin de jardin. Sont vus ou entendus également tourterelle turque, merle noir, mésange charbonnière et moineau. domestique. on observe aussi le ballet aérien des martinets noirs. Un arrêt rapide sur le Cours Jonville permet de repérer un goéland brun sur son nid installé sur le rebord d'un vélux! Nous nous rendons ensuite dans la vieille ville, près du musée Anacréon, où une large vue permet d'observer la zone portuaire et les toits de la partie basse de la ville. Une jeune tourterelle reconnaissable à l'absence de collier noir sur le cou est perchée sur un fil téléphonique. Un pigeon ramier sur le faîte d'un toit côtoie un pigeon biset domestique ce qui permet au passage d'observer les différences entre ces deux espèces. Des goélands nichent dans le secteur en moindre nombre que du côté de l'église on aperçoit un goéland brun posé sur une cheminée et aussi les goélands présents sur le toit de la criée. Ces derniers ne sont là que pour se nourrir ou se reposer, leur présence fluctue selon la hauteur de la mer. Où est la linotte mélodieuse? Dernière étape sur le port. Un goéland argenté laisse tomber un bulot d'une certaine hauteur pour le casser. Finalement c'est une corneille noire qui récolte la mise. Quelques goélands marins circulent ici et là. Un pipit maritime chante et se perche sur un fil. Une linotte mélodieuse vient grapiller quelques graines d'adventices qui poussent entre les interstices du pavé le zéro-phyto a tout son intérêt pour ces espèces granivores. Au loin une sterne pierregarin est entendue. Il y a certainement encore beaucoup de choses à voir mais il faut s'arrêter là. Ce sera pour une prochaine fois. Un grand merci à Jacques pour son érudition des espèces observées accenteur mouchet, bergeronnette grise, choucas des tours, corneille noire, étourneau sansonnet, goéland argenté, goéland brun, goéland marin, grive musicienne, linotte mélodieuse, martinet noir, merle noir, mésange charbonnière, mésange bleue, pigeon biset domestique, pigeon ramier, pipit maritime, rougequeue noir, tourterelle turque, verdier d'Europe. Vigilance. Le nid avec deux jeunes se trouve derrière l'adulte En quête de nourriture Adulte avec deux poussins sur le nid Goéland brun nichant sur Velux. Vigie granvillaise Goéland argenté 3ème année PROCHAINEMENT 30 JUIN 2018 à 11 HEURES INAUGURATION DE LA RESERVE DES PRES DE L'ORANGE à LA GOHANNIERE-TIREPIED 50 Le GONm a acquis une parcelle agricole de 20 ha dans la vallée de la Sée ce printemps communes de Tirepied et la Gohannière. L'inauguration aura lieu samedi 30 juin à 11 h sur place ruban coupé, poiré et petits fours. Ce sera l'occasion de présenter les grands axes de gestion de cette remarquable prairie entièrement située dans le lit majeur de la Sée. Ensuite, pour ceux qui le souhaitent, nous pourrons piqueniquer et partager les mets rares sortis des sacs! Même si le temps est maussade, nous serons de toute façon à l'abri dans le grand bâtiment agricole disponible. Sortie 36 de l'A84 "le Parc" puis direction Brécey. A la sortie du bourg de Tirepied vers Brécey, juste après la mairie à droite, c'est là! En espérant vous voir nombreux pour fêter la naissance d'une réserve d'un nouveau genre!

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Accueil Listes Accipitriformes Accipitridés Fiche Distribution Photos Accipiter nisus - Eurasian Sparrowhawk Systématique Ordre Accipitriformes Famille Accipitridés Genre Accipiter Espèce nisus Descripteur Biométrie Taille 38 cm Envergure 60 à 75 cm. Poids 185 à 350 g Distribution Description de la famille Les Accipitridés sont une famille de rapaces diurnes forte de 69 genres et 260 espèces, présente sur tous les continents, excepté l'Antarctique. Leur taille va de petite à grande. Ils ont en commun - un dimorphisme sexuel, le mâle étant plus petit que la femelle, - une vision binoculair... lire la suite Description identification ♂ adulte ♀ adulte L'Épervier d'Europe est un petit Accipiter, approximativement de la taille d'un pigeon. Il a un cousin, l'Autour des palombes, qui est nettement plus grand et plus fort. Quand on ne peut apprécier la taille, la confusion est possible. Ils ont en commun la silhouette "accipiter", caractérisée par des ailes larges, courtes et arrondies à l'extrémité et une longue queue, l'œil jaune, les parties inférieures finement barrées chez les adultes. L'appréciation de la taille est donc fondamentale. L'épervier a la queue longue, étroite et coupée droit au bout plus courte, plus large et arrondie au bout chez l'autour. Si on donne 1 comme valeur à la largeur de l'aile, la longueur de la queue est de 1,3 environ 1,08 à 1,1 chez l'autour. Chez l'épervier, il y a un dimorphisme sexuel. Le mâle adulte est typique avec ses parties supérieures gris-ardoise et la teinte rousse des joues, des flancs et des barres des parties inférieures. L'iris est orange. La femelle adulte, visiblement plus grande, est brune à gris -brun dessus et barrée de brun dessous. L'iris est jaune et elle a le plus souvent un sourcil pâle. C'est elle qui peut prêter à confusion avec l'autour. Le juvénile ressemble à la femelle mais les tectrices des parties supérieures sont liserées de roussâtre et le dessous est plus grossièrement barré. Au posé, les tarses longs et grêles de l'épervier sont diagnostiques. Au vol, ce sont les battements d'ailes rapides, frappés et saccadés qui permettent de trancher en faveur de l'épervier. L'autour adulte n'a pas de roux, a un sourcil pâle net, les parties inférieures plus finement barrées de gris-brun, la poitrine large, les tarses robustes, la queue plus large à la base et à bout arrondi. Les battements d'ailes sont plus lents. Pour finir, un truc ! Sur un adulte en vol vu de dessous, il faut regarder les rémiges secondaires. Celles-ci sont nettement barrées de brun chez l'épervier tandis que les barres sont comme effacées et moins visibles, chez l'autour. Utile sur photos. Indications subspécifiques 7 sous-espèces Accipiter nisus nisus Europe to sw Siberia and c Asia Accipiter nisus nisosimilis nw Siberia to n China and Japan Accipiter nisus dementjevi Pamir-Alai to Tien Shan Mts. c Asia. Accipiter nisus melaschistos e Afghanistan to sw China Accipiter nisus wolterstorffi Corsica and Sardinia Accipiter nisus punicus nw Africa Accipiter nisus granti Madeira and Canary Is. Noms étrangers Eurasian Sparrowhawk, Gavilán común, gavião-eurasiático, Sperber, karvaly, Sperwer, Sparviere, sparvhök, Spurvehauk, jastrab krahulec, krahujec obecný, Spurvehøg, varpushaukka, esparver comú, Sparrhaukur, krogulec zwyczajny, zvirbuļu vanags, skobec, Перепелятник, ハイタカ, 雀鹰, เหยี่ยวนกกระจอกใหญ่, 北雀鷹〔雀鷹〕, Voix chant et cris ♂ subadulte play pause Les Éperviers d'Europe sont très discrets voire silencieux en hiver. Leurs cris sont souvent entendus à proximité du nid pendant la période de reproduction. À cette époque de l'année, ils émettent des séries de "kiou kiou kiou" dont la vitesse dépend principalement de leur finalité. Le rythme des cris est en effet très différent selon qu'ils sont utilisés pendant les vols de parades, comme cri d'alarme ou pour annoncer le retour au nid avec une proie. Le cri de quémandage de la femelle est un "hui-ou" plaintif. Habitat adulte Pendant la nidification, les Éperviers d'Europe préfèrent les contrées où les espaces ouverts alternent avec les boisements de conifères et de feuillus. Ils installent généralement leur nid dans des parcelles de vieux arbres qui ont entre 20 et 50 ans. Ces habitats sont susceptibles de leur procurer d'excellentes cachettes et des espaces appropriés à leur mode de chasse. Les bocages, où les talus boisés succèdent aux espaces ouverts, sont également considérés comme de très bonnes sortes d'habitats. Les parties intérieures des grandes forêts denses sont généralement évitées. Par contre, les lambeaux résiduels de forêt dont la superficie est inférieure à 10 hectares semblent très appréciés. Pendant la période hivernale, les habitats boisés continuent à être prédominants, cependant les éperviers se rapprochent des centres urbains et de la périphérie des villes, ce qui est un phénomène relativement nouveau. Comportement traits de caractère ♀ 2ème Lorsqu'ils chassent, les Éperviers d'Europe veulent bénéficier de l'effet de surprise. Pour cela, ils volent bas, à très faible hauteur au-dessus du sol, profitant souvent de l'abri des haies, des buissons ou des bâtiments pour se dissimuler et pour mener une attaque foudroyante et soudaine vis à vis des bandes de petits passereaux qui se restaurent dans les espaces ouverts. ♂ adulte Lorsque les victimes potentielles sont cachées dans les feuillages, les éperviers tentent de les débusquer en frappant sur les branches mais cette stratégie est souvent improductive et dans ce cas, moins de 5% des tentatives sont couronnées de succès. Néanmoins, les éperviers sont des chasseurs très obstinés, ils poursuivent leurs proies, très longtemps, parfois en altitude. Quand ils ont raté leur coup, ils les suivent même dans les haies et dans les bois, finissant si nécessaire leur course, à pied dans les taillis. Ils savent faire preuve d'opportunisme et de patience, guettant les mangeoires dans les jardins afin d'y surprendre les mésanges bleues qui viennent se restaurer. Au printemps, ils arrive parfois que le couple se livre à des vols ondulés si rapides que, à la base de chaque plongée, l'épervier semble rebondir sur une surface invisible. Il entreprend également des piqués à grande vitesse, la tête en avant et les ailes complètement fermées. Ces parades sont souvent accompagnées d'un caquetage aigu. Vol ♂ adulte Vol rapide et direct avec battements rapides et frappés alternant avec de longs glissés, ailes à demi repliées. Pratique aussi le vol à voile dans les ascendances les jours de beau temps. Alimentationmode et régime ♀ 1ère année Des recherches intensives effectuées au Danemark sur plus de 60 000 proies ont permis de donner une composition assez précise du menu de ce rapace. Pendant la saison de nidification, près de 98% du régime est constitué de petits oiseaux. Dans le détail, le repas est composé de la façon suivante 13% de grives et de turdidés, 11% de Moineaux domestiques, 8% de fauvettes et d'espèces de la famille des sylviidés, 9% de mésanges, 7% de Pinsons des arbres et d'alouettes, 6% d'hirondelles, 5% de Moineaux friquets, 4% d'étourneaux et 3% de pipits. En tout, plus de 150 espèces ont été identifiées. ♀ adulte Les colombidés, les gallinacés et les petits faisans représentent une quantité assez négligeable, se situant en dessous de 1%. Pendant la période hivernale, la capture de proies reste sensiblement la même. La répartition est quelque peu différente à cause de la migration de certaines espèces qui volent ver le sud. Les Moineaux domestiques effectuent alors une pointe jusqu'à 20%. Les petits mammifères comme les souris et les musaraignes constituent pendant cette période une nourriture d'appoint. Dans les années de prolifération des rongeurs, ces derniers peuvent représenter jusqu'à 15% du total de la diète, surtout dans les contrées nordiques. Les éperviers, exclusivement les femelles, ne craignent pas de s'attaquer aux faisans, mais au fur et à mesure qu'ils grandissent, ces derniers deviennent des proies trop volumineuses pour être attrapées. En raison de leur taille plus impressionnante, les femelles chassent des proies plus importantes en poids comme les grives et les Pigeons ramiers. Cette différence permet aux couples d'occuper des territoires plus restreints, sans qu'il n'y ait de compétition entre les partenaires pour la nourriture. Reproduction nidification ♀ adulte Les Éperviers d'Europe atteignent généralement la maturité sexuelle entre l'âge d'un et deux ans. La plupart du temps, les liens conjugaux n'excèdent pas la durée d'une saison de nidification. Toutefois, dans les régions où les rapaces sont sédentaires ou ne s'éloignent guère de leurs lieux de reproduction, les liens peuvent perdurer et s'étendre pendant plusieurs années consécutives. De rares cas de polygamie et de polyandrie ont parfois pu être observés. Au début de la saison, certains couples, mais apparemment pas tous, effectuent des vols rituels au-dessus du nid. ♀ adulte Au Danemark où l'espèce est assez répandue, ces oiseaux nichent dans les forêts d'épicéas. Le nid, qui est renouvelé chaque année, est construit à la transition entre les branches mortes et les branches en bonne santé, à une hauteur qui varie de 5 à 8 mètres. Dans nos contrées d'Europe occidentale, un simple conifère fait bien souvent l'affaire. Les deux partenaires unissent leurs efforts pour bâtir la structure, cependant la femelle accomplit le plus gros de la tâche. Cette dernière est presque entièrement confectionnée avec des branchettes et des ramilles mortes lâchement assemblées. La coupe, peu profonde, est garnie avec des épines et de l'écorce de résineux auxquelles sont adjointes quelques plumes provenant de la mue. La ponte comprend habituellement de 4 à 6 œufs. Ces derniers sont déposés dès le début du mois de mai ou au mois de juin, avec un intervalle de 2 jours entre chaque œuf. Chaque œuf est couvé en moyenne pendant 33 à 35 jours, mais compte-tenu de la ponte échelonnée, l'incubation peut durer jusqu'à 42 jours au total. Les oisillons restent au nid pendant 24 à 30 jours mais, après l'envol, ils sont encore dépendants de leurs parents pendant 3 à 4 semaines. Distribution ♂ adulte Comme leur nom l'indique bien, les Éperviers d'Europe sont présents sur tout le vieux continent, de la péninsule ibérique jusqu'aux pays scandinaves et à la Russie. Leur aire de distribution se poursuit en Asie jusqu'à l'océan Pacifique en formant une large ceinture, avec une enclave séparée au niveau de l'Himalaya. Sur ce vaste territoire, on reconnaît officiellement 6 sous-espèces différentes A. n. nisus, la race nominale Europe occidentale, centrale et du Nord - A. n. nisosimilis Europe orientale, Sibérie - A. n. melanoschistos Himalaya, sous-continent indien - A. n. wolterstorffi Corse et Sardaigne - A. n. granti Canaries et Madère - A. n. punicus Afrique du Nord, du Maroc jusqu'à la Tunisie. Dans la partie nord de leur aire de distribution, ces oiseaux sont migrateurs. La totalité des populations des pays scandinaves migrent vers le sud à partir de la mi-août. Sur les 17 000 individus qui traversent la Baltique, seul un nombre assez réduit passe les détroits de la Méditerranée pour se rendre en Afrique. La plupart des oiseaux s'installent dans le sud de l'Europe où ils se joignent aux populations qui y résident pendant toute l'année. Environ 1 000 oiseaux transitent par Gibraltar et 500 par le détroit su Bosphore, poussant parfois jusqu'au sud de l'équateur. Une analyse des oiseaux bagués montre que chez les migrants les juvéniles sont plus nombreux que les vieux oiseaux. Les femelles qui ont une constitution corporelle plus puissante sont plus aptes à supporter les conditions climatiques plus rigoureuses que les mâles, elles migrent donc plus tard. Le voyage de migration est très long, comportant plusieurs centaines de kilomètres. Les spécimens étudiés en Espagne viennent souvent de Suède, de Finlande et de Tchécoslovaquie. Menaces - protection ♀ immature Statut de conservation IUCN Eteint Menacé Préoccupationmineure Éteintà l'état sauvage Quasimenacé Nonévalué EX EW CR EN VU NT LC NE Dans les années 50 et 60, avec l'émergence de nouveaux produits comme le DDT pour la protection des cultures contre les insectes, l'Épervier d'Europe a connu un période très difficile. L'échec des couvées dû à l'amincissement de la coquille des œufs est monté dans certaines régions à plus de 30%. La cessation de ces produits et la mise en place de moyens plus modernes et plus écologiques ont permis aux éperviers de recoloniser une partie des territoires perdus. On ne peut pas pour autant faire preuve d'optimisme. Dans de nombreuses régions, les proies ne sont pas suffisantes pour permettre un véritable accroissement. Dans certains pays comme les pays scandinaves, la Grèce, la République Tchèque ou la Slovaquie, il n'est pas vraiment interdit de tirer sur ce rapace. D'après Gensbol, la population européenne peut être estimée entre 90 000 et 125 000 couples nicheurs, ce qui fait que l'espèce est classée comme de "préoccupation mineure". La population de Madère et des Canaries est réduite respectivement à 100 et à 200 couples en raison de la dégradation importante de leur habitat. Fiche créée le 22/01/2011 par Daniel Le-Dantec partiellement réécrite le 07/01/2021 par Jean François publiée le 22-01-2011 - modifiée le 29-01-2021 © 1996-2022 Accipitriformes Ansériformes Apodiformes Aptérygiformes Bucérotiformes Caprimulgiformes Cariamiformes Casuariiformes Charadriiformes Ciconiiformes Coliiformes Columbiformes Coraciiformes Cuculiformes Eurypygiformes Falconiformes Galliformes Gaviiformes Gruiformes Leptosomiformes Mesitornithiformes Musophagiformes Opisthocomiformes Otidiformes Passériformes Pélécaniformes Phaethontiformes Phoenicoptériformes Piciformes Podicipédiformes Procellariiformes Psittaciformes Pterocliformes Rhéiformes Sphénisciformes Strigiformes Struthioniformes Suliformes Tinamiformes Trogoniformes Crisde la Chouette chevêche: Envergure: 50/57cm. Longueur: 23/27,5cm . Poids: 200gr. Habitat & répartition: La Chevêche affectionne les paysages agricoles avec des haies, des rangées de vieux arbres le long des chemins, les bocages, les vergers, les parcs, les allées boisées. On la rencontre presque partout en France bien que ses effectifs soient en diminution Depuis plusieurs années, les habitants du Port du Rhin à Strasbourg sont envahis par des colonies d'étourneaux, qui nichent dans les arbres, avec le bruit et l'odeur qui vont avec... Alors la mairie de Strasbourg a décidé de mener, avec la LPO, des mesures d'effarouchement 1Utiliser les techniques de suspension et sonores. 1.1 Suspendre des objets mobiles. 1.2 Faire du bruit. 2 Se servir de produits ou d’objets repoussant les pies. 2.1 Répulsif fait-maison. 2.2 Répulsif sur le commerce. 2.3 Appareil électronique à vibration sonore. 3 Éloigner les nourritures du potager. Du 4 au 8 juillet 2022, la ville de Lisieux Calvados teste une nouvelle méthode pour faire fuir les étourneaux de la place de la République diffuser des sons de rapaces. Par Paul Lesigne Publié le 5 Juil 22 à 1912 Équipé d’un mégaphone, le véhicule de la ville de Lisieux circule sur la place de la République et diffuse des sons. ©Paul LESIGNELes bruits surprennent et amusent, dans le centre-ville de Lisieux Calvados. Depuis lundi 4 juillet 2022, la ville diffuse des sons de rapaces sur la place de la République, pour faire fuir les étourneaux. Le matin, de 8 h à 8 h 30, et le soir, de 20 h à 20 h 30, un agent circule sur la place, dans un utilitaire équipé d’un mégaphone sur le toit. Une clé USB branchée sur un amplificateur, il envoie divers cris de rapaces, pour effrayer les volatiles installés dans les arbres. Cliquez ici pour visualiser le contenu Pour la ville, il s’agit d’un test, qui doit se prolonger jusqu’au vendredi 8 juillet 2022, au moins, pour vérifier que les oiseaux sont réceptifs », explique Philippe Manrésa. Ensuite, si l’essai s’avère concluant, il y a de grandes chances que la mairie installe des dispositifs fixes dans les arbres », annonce le directeur des services techniques. Les sons se déclencheront alors automatiquement, selon la programmation horaire choisie. Cette technique est notamment utilisée dans les aéroports. Nous avons échangé avec d’autres collectivités, et avec l’aéroport de Saint-Gatien. » Le but est que les oiseaux ne s’installent pas ici et les chasser le plus tôt possible », afin qu’il ne s’habituent pas à venir. Confrontée régulièrement à l’afflux d’étourneaux sur la place de la République, la mairie a déjà fait appel à des prestataires extérieurs, mais cela n’a pas donné entière satisfaction ». Alors, on change de méthode », lance Sébastien terrasses… Le maire rappelle quelques problèmes causés par les étourneaux, les contraintes dans la gestion de la propreté urbaine, dans l’exploitation des terrasses et dans le stationnement, car les véhicules sont vite touchés ndlr par les déjections, et même les riverains à l’occasion… ». Avec les sons, la ville espère avoir trouvé la bonne solution, car il n’est pas question de couper les arbres ».Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Pays d'Auge dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
ArquesDe faux cris de vrais rapaces pour faire fuir les étourneaux du centre-ville La municipalité, lassée de nettoyer les fientes des étourneaux qui se
Une culture bien entretenue est susceptible de garantir la sécurité alimentaire de plus d’un. Malheureusement, dans bon nombre de champs ou plantations agricoles, on constate avec désolation que les oiseaux ou animaux nuisibles viennent brouter voire détruire les plantes avant ou après leur fructification. Certains producteurs et productrices désenchantés par cet état de chose, entreprennent des mesures palliatives pour effaroucher ces différentes bêtes dévastatrices. Yélian Martine AWELE Les oiseaux déprédateurs sont connus pour ravager les cultures. Les épouvantails contribuent à les éloigner des potagers. Les oiseaux en grandes bandes notamment les étourneaux sont plus faciles à effaroucher. Les dégâts qu’ils causent sont souvent de taille. C’est pourquoi il est préférable de bien disposer les dispositifs d’effarouchement sur toute la surface de la plantation afin qu’elle soit entièrement protégée et qu’il n’y ait pas d’endroits accessibles. Pour faire fuir les oiseaux efficacement, le mieux est d’utiliser un effaroucheur visuel, en combinaison avec un effaroucheur sonore » fait savoir Alfred GODONOU Agriculteur. Les bandes en papier d’aluminium sont les effaroucheurs les plus simples à utiliser » ajoute-t-il. Effarouchement visuel La solution classique consiste à utiliser des CD. Fixés dans les arbres, ils effraient les oiseaux avec les reflets du soleil. Toutefois, cette technique est peu efficace sur de long terme et nécessite une installation à divers endroits pour être perçue par les volatiles. Effarouchement sonore Pour faire peur aux oiseaux, on remarque que l’effaroucheur sonore est une méthode qui fonctionne sur les parcelles plus grandes. En effet, il est possible de mettre en place des répulsifs sonores qui imitent les cris d’animaux en détresse ou de rapaces, pour effrayer les oiseaux ». Les effaroucheurs ultrasons émettent également des bruits effrayants. Comment fabriquer un effaroucheur ? Il existe plusieurs façons d’utiliser le papier d’aluminium pour éloigner les oiseaux. Lorsque les oiseaux dérangent les jardins, il suffit de placer des bandes de papier d’aluminium sous la surface de la terre ou autour des plantes qu’ils dérangent. Pour fabriquer un épouvantail, il faut bourrer le sac de jute ou de coton avec de la paille ou de vieux chiffons ; l’enfiler sur le piquet vertical et le lier solidement avec de la ficelle la tête est formée. Improviser un nez, une bouche, des yeux et des sourcils avec chutes de tissu, feutrine, boutons, fil et aiguille. Néanmoins, spécifiquement pour la culture du haricot, le tissu ou linge rouge est utilisé à d’autres fins. Le producteur expose les réalités que traduit cette utilisation. Quand on sème le haricot avant que ça ne commence par pousser des fleurs, avant sa floraison ; nos aïeux ont l’habitude de mettre des maïs très rouges ou d’attacher des linges rouges vifs à un bois qu’ils implantent au milieu de la plantation du haricot pour protéger la culture ». Il explique que pendant cette période précisément, quand on ne le fait pas, on met la culture en danger car au moment de sa fructification, si une femme en période de menstruation passe par mégarde dans le champ, ça agit sur la fructification ou bien même gatte la floraison et les plantes ne donnent plus de fruits comme cela se doit ». De même, pour faire l’implant, on privilégie les piquets de neem pour le faire » conclut-il.
Lesspécificités de votre repulsif sonore oiseaux Bird X Peller Pro - Répulsif sonore - Universel. Préconisé pour : les étourneaus, les merles américains, les corneilles en danger, les éperviers, les moineaux, les geai bleus, les grands corbeaux, les pies bavardes etc. Dimension (encombrement) : 26 cm x 11.4 cm x 9.5 cm. Puissance : 30 L'étymologie de sansonnet est incertaine, ce terme pourrait dériver de Samson ou de sassonet crible », l'oiseau étant criblé de petites sansonnet Sturnus vulgaris est une espèce de passereaux de la famille des sturnidés, originaire de la plus grande partie de l'Eurasie, mais qui a été introduit en Afrique du Sud, en Amérique du Nord, en Australie et en l'une des quelques espèces qui semble bien s'adapter au contexte urbain. Ses populations urbaines et périurbaines se sont récemment densifiées, au point de le faire considérer localement comme espèce envahissante, voire femelle immature à Londres en hiver WikipediaStatut de conservationUICN LC Préoccupation mineureL'étourneau sansonnet est devenu l'un des oiseaux les plus familiers dans les régions tempérées, avec son corps rondelet, ses ailes courtes, triangulaires et pointues, sa queue courte et sansonnet a une longueur de 17 à 21 cm pour un poids variant de 60 à 95 g. Son envergure est de 37 cm en Il a le bec conique, long, fin, pointu. - Ses pattes sont longues et fines, brun rosé,- et son œil est brun L'étourneau marche, plutôt que de sautiller. Son vol est énergique et direct, grâce à ses ailes et à sa queue L'adulte en plumage nuptial est noir et brillant avec des reflets verts iridescents verts et rouge violacés et moucheté de blanc sur le dos et le bas du ventre. Le bec est Le plumage internuptial est similaire, mais a perdu de ses reflets iridescents, et les taches claires de la partie inférieure remontent jusqu'à la gorge et sont plus nettes sur le dos. Le bec est présente un discret dimorphisme sexuel la femelle est plus terne, mais présente plus de taches sur la face ventrale. Les juvéniles sont d'un brun terne ; dans leur premier hiver, ils ressemblent aux adultes, mais sont plus bruns, spécialement sur la tête. Le dessus de leur corps est gris-brun, le dessous est plus ne peut guère être confondue avec les autres que dans la péninsule Ibérique, en hiver, où il faut la distinguer de l'espèce très voisine Sturnus unicolor, qui comme son nom l'indique, a moins de taches sur son sansonnet en plumage nuptialÉtourneau sansonnet en plumage internuptialÉtourneau sansonnet juvénile 1er hiver- Images WikipediaL'étourneau sansonnet est opportuniste et omnivore, son penchant pour les fruits cerises, olives, raisin... fait qu'il est peu apprécié par les cultivateurs en Europe de l'Ouest et au bord de la Méditerranée, mais il est apprécié par ceux d'Europe de l'Est car il y est essentiellement Cet oiseau peut être solitaire comme il peut aussi former des nuées de plus de 100 000 individus, qui s'organisent en dortoirs pour la nuit. Lorsqu'elle est grégaire, cette espèce donne un spectacle impressionnant à voir et à entendre, en particulier le soir quand les oiseaux viennent se percher dans des buissons de roseaux, attirant par là souvent des oiseaux de proie tels que les émerillons ou les éperviers. Originaire des forêts de feuillus, l'étourneau s'est établi au voisinage de l'homme de grandes bandes exceptionnellement jusqu'à un million d'individus, peuvent se former dans les centres des villes, où leurs fientes provoquent beaucoup de chant des mâles est très variable. Ces variations semblent influencer le choix du partenaire sexuel chez les femelles. Ce chant est un pot-pourri à la tonalité aiguë, peu musical, entrecoupé de sifflements, de chants imités et de Il semble qu'autrefois, l'étourneau déparasitait certains grands Adrien Linden, les étourneaux sansonnets sont les amis des bestiaux, des cerfs et autres ruminants. ils vont familièrement se percher sur leur dos et les délivrent de la vermine qui les tourmente. Ils font mieux ils remplissent auprès d'eux l'office de vétérinaire. Je viens de vous parler des Œstres qui pondent sur les gros animaux, et je vous ai dit que les larves de ces mouches se logent entre cuir et chair et que leur présence détermine une tumeur dans laquelle ces larves vivent grassement ; eh bien, les Sansonnets crèvent ces tumeurs avec leur bec, arrachent les larves qui s'y prélassent et les croquent, à la grande satisfaction des gros animaux, hôtes involontaires de ces parasites.» Ce comportement a pu régresser ou disparaitre avec l'élevage hors sol et la généralisation d' et répartition Wikipediapopulations autochtones / Zones de nidification, en été/ Zones de nidification, permanentes/ Zones d'hivernagepopulations introduites / Zones de nidification, en été/ Zones de nidification, permanentesL'étourneau s'accommode d'un grand nombre d'habitats, et on peut le trouver dans tous les environnements assez ouverts, des terres agricoles aux prés-salés, des zones arides aux zones boisées, et de plus en plus fréquemment en pleine est très abondant dans toute l'Europe mais aussi en Asie mineure, en Russie et jusqu'en Mongolie et aussi sur le continent nord est sédentaire en Europe du Sud et de l'Ouest, ses populations nordiques et orientales migrent en hiver vers ces régions, et même plus loin vers le sud, sur tout le pourtour espèce, adaptable et omnivore, est considérée comme nuisible » dans nombre de pays où elle a été introduite. L'étourneau sansonnet niche dans des trous, dont il chasse volontiers d'autres espèces, ce qui peut entraîner une compétition pour les sites de qu'il y ait environ 200 millions d'étourneaux en Amérique du Nord, ce sont tous les descendants d'une centaine d'oiseaux 60 en 1890 et 40 en 1891 relâchés dans le Central Park de New York, par Eugene Shieffelin, à la tête d'une société d'acclimatation, qui essayait d'introduire en Amérique du Nord toutes les espèces d'oiseaux mentionnées dans les œuvres de William Shakespeare. Un siècle après leur introduction, en se multipliant rapidement, les étourneaux ont conquis toute l'Amérique du Nord jusqu'en descendants de ces étourneaux peuvent poser problème en Amérique du Nord, parce que des espèces indigènes perdent des sites de nidification au profit des étourneaux, plus agressifs. Il s'agit d'espèces telles que le merle bleu, l'hirondelle noire, l'hirondelle bicolore, ainsi que certaines des plus petites espèces de ou invasion urbaine C'est avec le rat, le pigeon, le merle noir et la mouette rieuse, l'une des rares espèces qui s'est récemment et très bien adaptée aux grandes villes. L'environnement urbain et tout particulièrement l'éclairage nocturne et le phénomène dit de pollution lumineuse » ont fortement modifié son comportement l'étourneau est en effet un oiseau diurne qui a une très mauvaise vision nocturne. Dans leur environnement nocturne normal, les étourneaux se rassemblent la nuit en dortoirs, restent calmes et silencieux, même quand 300 000 étourneaux y sont dérangés par un prédateur renard, chat, rapace nocturne... En ville où le halo lumineux est de plus en plus intense et permanent, ces mêmes étourneaux sont beaucoup plus actifs et nerveux, se déplaçant à n'importe quelle heure de la nuit quand ils sont même en ville, leur retour au dortoir est fort dépendant de l'heure du coucher du soleil cf. graphique ci-dessous.Étourneau sansonnet moment du retour au dortoirWIKIPEDIA NOV 2011 qsZ9kB.
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