Le18 décembre 1998. le Musée de la Machine-outil d’Elgoibar fut inauguré. Il répondait au devoir de mémoire associé à notre histoire industrielle, ainsi qu’aux hommes et aux femmes qui la vécurent et y participèrent. La récupération et la préservation du patrimoine liées à la machine-outil, afin de la transmettre ce savoir aux générations présentes et futures, en est le
► Prolongée jusqu’au 30 novembre 2021 POUR SON 20e ANNIVERSAIRE, L’ASSOCIATION ROMILLY PATRIMOINE VOUS PRESENTE A L’ESPACE VIVANT DE LA BONNETERIE 1872-1972… 100 ANS ET PLUS DE MACHINES A COUDRE. » DU 12 SEPTEMBRE 2020 AU 30 JUIN 2021. Venez nombreux, avec votre famille, amis et connaissances, parlez-en autour de vous, les bénévoles vous accueillerons avec plaisir. 1872-1972… 100 ans et plus de machines à coudre » à l’Espace Vivant de la Bonneterie, zone Aéromia, 2 rue Robert Galley, à Romilly-sur-Seine, les jeudis après-midi de 14 à 17 h ; sur rendez-vous les samedis et dimanches après-midi. Appeler pour réservation obligatoire pour les groupes le 03 25 24 79 90 ou le 06 70 66 64 02. Présentation de l’exposition La machine à coudre, objet commun pour plus de 4 générations, a trôné » dans les intérieurs familiaux, dans les boutiques des artisans du cuir et aussi dans les salles dédiées de l’industrie textile. Sorties des réserves, plus d’une cinquantaine de machines vous permettrons de visualiser les évolutions techniques, mais aussi artistiques. Elles vous permettront aussi d’appréhender les compétitions économiques et industrielles, déjà à la dimension internationale. Leur déclinaison commerciale, de l’outil de luxe au jouet d’initiation, est visible dans l’exposition. Quelques machines ont aussi une origine régionale. Depuis 2016, les bénévoles de l’association ont nettoyé, remis en fonctionnement les plus anciennes du XIXème siècle-début du XXème et sont heureux de vous les présenter. Même si l’Espace Vivant de la Bonneterie n’est pas un musée de la machine à coudre, les machines ont aussi une histoire et méritent d’être exposées. En 2020, avec la pandémie Covid 19, la machine à coudre est redevenue d’actualité pour la confection de masques protecteurs, aussi bien par les couturières à domicile que par les entreprises textiles Revenir à la page précédente

HuguetteRobion a fait don au musée de Salagon, des productions, outillages et matériaux utilisés par sa mère, Lucienne Paul, modiste à Saint-André-les-Alpes dans les années 1930, (plus de 80 chapeaux, des outils, des décorations, des rubans ). On trouve également des vêtements, du mobilier, mais aussi des jouets d’enfants.

Journée internationale des musées 2022 Nouvelle recherche New exhibition search Print Museum Située dans les caves 13e s. de la Maison de Diesbach, l’exposition se consacre à l’ingéniosité humaine autour des thèmes de la machine à coudre, de l’art de la lessive et de l’insolite. Les collections rassemblent de nombreuses machines à coudre dès 1851 et retracent l’histoire de la lessive machines à laver dès 1833, fers à repasser égyptiens, chinois, etc.. On peut aussi admirer des aspirateurs mécaniques et près de 2000 objets insolites. Ce musée vous accueille dans les langues suivantes D/F/E Ouverture 1975 Hall d'entrée Fer à repasser et Miss Fribourg Objets insolites Technique Adresse du musée Grand Rue 58 1700 Fribourg Ouvert Visites guidées, ts les j. sur demande Réservation ou T 026 475 24 33 Entrée Frs / personne Possibilités de stationnement Adapté aux familles avec enfants Entièrement accessible en fauteuil roulant Très facilement accessible en transports publics Nouvelle recherche New exhibition search Print
Muséede la machine à coudre et des objets insolites C’est lors d’un bel après-midi que 19 personnes ont pris part à la visite de ce Musée dans un magnifique bâtiment ancien. Reçu part Mr. Wassmer, celui-ci nous guida et présenta diverses machines des années 40 et plus ; machines insolites du style Tinguely.

Il y a 2 semaines je suis allée visiter le musée Barthélemy Thimonnier. Un musée consacré à la machine à coudre et aux cycles. Ce musée est situé à Amplepuis 69550, une petite ville de moins de 6 000 habitants où je vis depuis maintenant plus de 10 ans. Barthélemy Thimonnier est l’inventeur de la machine à coudre. Il a vécu et il est mort également à Amplepuis. La ville lui a donc consacré un musée. Mais ce musée ne contient pas uniquement l’histoire de la machine à coudre mais aussi celle des cycles vélos. Voilà ce que nous apprends le musée à propos de ces 2 inventions révolutionnaires Cycles et machines à coudre ont de nombreux points communs objet manufacturé, mêmes constructeurs Peugeot, Opel… et aussi même mécanique une pédale qui entraine une roue. Reflets de la vie du 19ème siècle, ces 2 objets du quotidien ont laissé leur empreinte dans notre société. Le musée raconte leur histoire. La visite commence par un historique de l’aiguille à coudre. En effet cette histoire commence déjà à l’époque préhistorique. A cette époque les hommes avaient déjà besoin de se vêtir en cousant des peaux d’animaux. Ils utilisaient pour cela des arêtes de poisson en guise d’aiguille ou un os percé dans lequel était enfilé un boyau. Après cette brève introduction on découvre le processus de fabrication d’une aiguille. L’aiguille a joué un rôle essentiel dans la mécanisation de la couture. Barthélemy Thimonnier 19 août 1793 – 5 juillet 1857 Les parents de Barthelemy Thimonnier sont teinturiers. Barthelemy Thimonnier apprend le métier de tailleur à domicile. Pour ne pas partir à l’armée, il se mutile volontairement deux doigts de la main droite. Il va ensuite développer un “métier de couture” en 1829 et déposer le brevet en 1830. Il redéposera 2 autres brevets en 1845, puis en 1848, pour une machine dite “couso-brodeur”, pour coudre, broder et faire les cordons. Tout au long de sa vie il essaye de perfectionner son invention et de l’utiliser pour créer un atelier mécanique. Il obtient une médaille d’or à l’exposition universelle à Paris en 1855. Malade, il meurt en 1857, dans la misère et sa femme revend ses outils pour payer ses dettes. Je vous montre en vidéo des prototypes du métier à coudre sur bâti. Premier brevet de la machine à coudre en état de fonctionnement, 1830. Voilà donc les ancêtres de nos machines Une petite scène reconstituée de l’époque Après la mort de l’inventeur c’est son fils Etienne qui reprend la vente de machine à coudre à son compte et voilà ce qu’il vend en 1867 Machine à coudre sur bâti – Maison Thimonnier 1867 Autre exemple de machine vendu par l’entreprise Thimonnier Machine à coudre “Pic-up” , c’est une machine à points de chainette pour assembler les tissus avant la teinture. Aujourd’hui l’entreprise Thimonnier fabrique des machines qui maitrisent la soudure des matières plastiques, qu’il s’agisse de la soudure thermique, à impulsion, par ultra-sons ou de la soudure à haute fréquences. Cette spécialisation lui permet de s’adresser à tous les secteurs de l’industrie fabriques de gilets pare-balles, de piscines gonflables, de bâches… Voilà je vais m’arrêter là pour cette première partie. Dans la seconde partie je vous montrerai de belles machines d’époque et même un modèle qui a été interdit à la vente car jugé anti hygiénique ! J’espère que cette petite visite vous a plu ? La suite est désormais en ligne visite au musée de la machine à coudre partie 2 !

Voilàmes conseils pour débuter en couture. Que vous n’ayez jamais touché une machine à coudre ou que vous ayez envie de progresser vous trouverez ici quelques astuces pour vous organiser, des conseils et mes meilleures adresses. Depuis le confinement et encore plus depuis que j’ai débuté la couture des masques barrières, je reçois quotidiennement des

La visite du musée de la machine à coudre se poursuit en admirant de très belles machines anciennes ! Si vous n’avez pas vu le début de la visite, c’est par ici Musée de la machine à coudre partie 1 Machine à coudre sur bâti – 1855 Wheeler and Wilson – USA Ces machines sont vraiment superbes ! Admirez l’espace bien dessiné pour poser ces pieds. En haut de la machine, une sorte de coffre couvercle’ permet de ranger la machine, ou du moins de la dissimuler. Machine à coudre Guéridon “L’indispensable” Journaux – France Apparemment ce fabricant français de machine à coudre, Journaux-Leblond, a fabriqué entre 1854 et 1877 beaucoup de machines haut de gamme mais en petites séries. Il y a donc eu beaucoup de modèles différents en vente ! C’est vrai que dans le musée, j’ai pu voir des dizaines et des dizaines de machines à coudre de tout type. Je pense qu’il n’y a pas dû avoir que cette marque française qui a conçu une grande quantité de modèles en petites séries. C’était une grande période de développement pour la machine à coudre… Une autre vue de cette machine D’autres machines A partir des années 1880 les machines à coudre sont toutes fonctionnelles, les constructeurs doivent donc trouver d’autres arguments de vente. Ils décident donc de décorer leur machine ! Dès la fin du 19ème siècle, le bâti de la machine est revêtu de marqueteries. Le décor le plus répandu est le mètre de couturière incrusté dans la table. Des formes originales apparaissent également. Jusque dans les années 1950 certaines machines deviennent même des objets d’art et de décoration. Les têtes de machines peuvent s’orner d’incrustations de nacre et de feuilles d’or. Une machine à coudre avec une forme un peu insolite’ la machine à coudre portable Gritzner, forme violon Allemagne. Machine à coudre New Home Cette machine est juste magnifique ! J’aime beaucoup. C’est bien dommage que de nos jours nos machines ne soient plus décorées avec autant de soin. Non seulement cette machine est superbement décorée mais la table en bois l’est aussi. On peut ainsi voir le fameux mètre de couturière incrusté dans la table sur le devant de la machine. Les mesures du mètre étaient soit en cm soit en inch en fonction des pays. De plus près… C’est vraiment magnifique, n’est-ce pas ? Et si vous regardez bien la décoration ci-dessus, c’est celle que l’on retrouve sur cette affiche Inscription en bas de l’affiche “Le travail en famille par la New Home” Un modèle de machine à coudre interdit à la vente ! Cette machine à coudre Peugeot 1880 a été interdite à la vente. Le modèle s’appelle “L’excitante”. L’entrainement par pédales à mouvement longitudinale, implique un frottement des cuisses de l’utilisatrice. Ce modèle a été interdit car jugé anti-hygiénique. D’autres anciennes machines à coudre Bien évidemment je ne peux vous parler de toutes les machines du musée ce musée possède vraiment beaucoup de machines, mais je compte vous faire découvrir d’autres merveilles. La suite de la visite est ici visite partie 3 du musée. Inscrivez-vous à la newsletter si vous ne l’avez pas encore fait.

Jesuis toujours contente de lire vos commentaires, ceux-ci m'encouragent à continuer de vous retrouver ici. Merci à celles qui prennent le temps de me mettre un mot. Rendez vous pour mon prochain article sur le Musée textile. Si les machines à coudre anciennes vous intéressent vous trouverez d'autres articles sur ce lien ici J’ai été récemment visiter le musée de la machine à coudre. J’ai donc décidé de partager cette visite avec vous. La visite du musée commence ici partie 1. Dans cette partie je vous fais découvrir la naissance de la machine à coudre grâce à son inventeur Barthélemy Thimonnier. Je vous indique également où se situe ce musée. Dans la partie 2, je vous présente quelques machines anciennes ainsi que leur décoration, et même une machine interdite à la vente ! Aujourd’hui nous allons voir différents types de machine à coudre. Les premières machines à coudre électrique portable Cette machine est “dans” une valise de transport. Nous sommes alors en 1910 ! Le système électrique et la lampe ont été rajoutés par la suite. Ils n’étaient apparemment pas présents au moment de l’achat de cette machine. Une machine à coudre insolite la machine à coudre portable électrique R 50 Cette machine à coudre électrique n’a pas de marque car elle a été entièrement conçue par M. Francis Salmin dont ce fut le rêve pendant 50 ans. D’où l’appellation “R 50” Les capots sont des éléments d’ailes de Renault 4 !. Je trouve cette histoire vraiment incroyable ! Et la photo de plus près Je suppose que c’est M. Salmin sur cette photo. Les différentes machines à coudre La visite du musée se poursuit avec la découverte d’un nombre incroyable de machines à coudre différentes ! On découvre la machine pour coudre les boutonnières, pour poser les boutons, pour coudre la paille, pour coudre les ourlets à points invisibles etc. Il y en a vraiment beaucoup ! Voici un aperçu de certaines de ces machines Tête de machine industrielle REECE, pour coudre les boutonnières Tête de machine à coudre Singer, 1913, pour coudre la paille des chapeaux Tête de machine à coudre ADAMSON, pour poser les boutons Plusieurs photos pour vous montrer cette belle machine… Si vous avez la chance d’aller voir ce musée, vous pourrez découvrir également un grand nombre d’autres machines ! Pour le plaisir des yeux je vous en partage encore 2 autres Machine électrique à coudre sur meuble, BROWER, pour coudre la fourrure Machine à coudre sur bâti pour cordonnier, Thimonnier La suite de la visite est par là visite du musée partie 4 Pour être tenu informé des nouveautés du blog, inscrivez-vous à la newsletter !
MuséeBarthélemy Thimonnier, de la machine à coudre et du cycle à Amplepuis Sortie Culturelle Consultez les Horaires Avis sur cette Sortie Culturelle Ajouter un lieu sur libre et c'est complètement gratuit !
Un musée atypique pour découvrir deux inventions révolutionnaires La machine à coudre et le cycle. Dans un site remarquable au cœur de la ville, le "MUSÉE BARTHÉLÉMY THIMONIER" vous emmène à la découverte de deux inventions du 19e siècle les machines à coudre et les en 1985, le musée occupe l'ancien hôpital d'"AMPLEPUIS" et sa chapelle de style néogothique. Ce cadre étonnant offre un écrin pour les collections labellisées Musée de France en fil de l'histoire ...C'est à "BARTHÉLÉMY THIMONIER", célèbre habitant d'"AMPLEPUIS", que l'on doit l'invention de la machine à son "métier à coudre", breveté en 1830, jusqu'à l'ordinateur de couture actuel, le musée présente des machines de toutes marques qui constituent la première collection publique de brevets, innovations techniques, recherche esthétique et génie commercial ont rythmé l'histoire de la machine à coudre présente dans les foyers, les usines et les ateliers du monde en selle ! Donation de "HENRI ET RENÉE MALARTE" musée de Rochetaillée sur Saône en 1989, la collection de cycles et d'affiches publicitaires présentées au musée nous entraîne dans la grande histoire du cycle. De la draisienne de 1818 aux vélos de course actuels, c'est la une chronologie de ce mode de déplacement qui est vélos avec des machines?Cycles et machines à coudre ont de nombreux points communs objet manufacturé, mêmes constructeurs Peugeot, Opel ... et aussi même mécanique une pédale qui entraîne une roue.Reflets de la vie du 19e siècle, ces deux objets du quotidien ont laissé leur empreinte dans notre société. Le musée raconte leur –– Données APIDAE Tourisme mises à jour le 25/03/2022 par "Office de Tourisme du Beaujolais Vert - Lac des sapins". Une erreur sur cette fiche ? Écrire à accueil en rappelant ces références Nom de la fiche Musée Barthélémy Thimonnier, de la machine à coudre et du cycle. Identifiant de la fiche 211877 URL lien de cette page Outdooractive. Heures d'ouverture Du 21/04 au 30/06, et 01/09 au 8/12 du mardi au samedi 14h à 01/07 au 31/08 Tous les jours de 10h30-13h et 14h-18h. Tarifs Adulte à partir de 4,50 €Adolescent à partir de 3 €Enfant à partir de 3 € De 11 à 18 ans.Etudiant de 1 à 2 €Demandeur d'emploi à partir de 3 €Handicapé à partir de 3 €Groupe adultes à partir de 4 €Groupe enfants de 1 à 2 €. Gratuit pour les moins de 10 ans, la presse. Tarif groupe à partir de 20 personnes. Coordonnées DMS45°58' 4°19' UTM31T 603127 5091909 w3w /// Voir sur la carte Y aller en train, en voiture ou en vélo Recommandations à proximité Difficulté Distance 21,1 km Durée 502 h. Dénivelé positif 680 m Dénivelé négatif 710 m Amplepuis - Brégade - Les Places - Palot - La Claye - Margotton - La Combe - Les Sauvages - Chapelle Notre-Dame-de-Bel-Air - Église Saint-André - ... de Tiwanee P, Communauté Parcours recommandé Difficulté Facile Distance 4,8 km Durée 130 h. Dénivelé positif 45 m Dénivelé négatif 54 m Une balade autour de l’eauUne randonnée familiale par excellence avec de nombreuses haltes possibles pour patauger dans l’eau, se détendre dans l ... de Mihriban Doner, Rhône Tourisme Parcours recommandé Difficulté Très difficile Distance 57,5 km Durée 415 h. Dénivelé positif 1 110 m Dénivelé négatif 1 066 m Le Beaujolais Vert est un secteur parfait pour les cyclorandonneurs réguliers qui cherchent du dénivelé. Parmi les 6 boucles, 3 sont cotées ... de Mihriban Doner, Rhône Tourisme Difficulté Moyen Distance 15,1 km Durée 153 h. Dénivelé positif 460 m Dénivelé négatif 460 m Trail des petites mollieres 15km 500d+ Départ à la maison des sports de cublize Possibilités de se baigner et autres au lac des sapins. de Bob Art, Communauté Difficulté Moyen Distance 15,1 km Durée 153 h. Dénivelé positif 460 m Dénivelé négatif 460 m Trail des mollieres Départ de la station de Trail de cublize à proximité du lac des sapins de Bob Art, Communauté Parcours recommandé Difficulté Très difficile Distance 14,9 km Durée 450 h. Dénivelé positif 430 m Dénivelé négatif 520 m Les attraits de l’itinéraireDes chemins qui s’écartent des rives du lac et invitent le marcheur à prendre le temps de contempler les grands ... Rhône Tourisme Difficulté Distance 6,2 km Durée 141 h. Dénivelé positif 134 m Dénivelé négatif 135 m Randonnée simple avec quelques montées et de très beaux points de vues. Une majorité de ce parcours est goudronné. Des alternatives sont possible ... de Tomy Drescher, Communauté Parcours recommandé Difficulté Très difficile Distance 64,6 km Durée 430 h. Dénivelé positif 900 m Dénivelé négatif 745 m Le Beaujolais Vert est un secteur parfait pour les cyclorandonneurs réguliers qui cherchent du dénivelé. Parmi les 6 boucles, 3 sont cotées ... de Mihriban Doner, Rhône Tourisme Voir sur la carte
Scènesde moisson à Virson en 1920 1963; La machine à battre à Tesson en 1936 et 1963; Le tracteur Hanomag et la batteuse Merlin; Les vieilles mécanique en folie Souvigné 2012; Photos fêtes 2012; Le musée de Laduz Yonne;
Informations du siteGrand PoitiersAdresse 84, rue des Carmélites86 000 PoitiersTel 05 49 52 35 35Horaires Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30Pendant les vacances scolaires Ouverture de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30 du lundi au vendrediNous contacter Se déplacer à Grand Poitiers Communauté urbaine FacebookTwitterYoutubeInstagramLinkedin Contact Mentions légales Accessibilité Charte graphique Plan du site Gestion des cookiesPublicationsRéalisation Stratis Lesmachines à coudre " jouet" étaient, elles dans une vitrine du marché couvert Mercado San Telmo, à Buenos Aires ainsi que la Machine SINGER au musée du Fileteado Porteño, si originale avec son meuble peint. la Gritzner, elle, se trouve dans le palais-musée de style Art nouveau de la famille Braun-Menendez à Puerta Arena Chili.
Guide de voyageFranceNouvelle-AquitaineVienneRouilléVisites – Points d’intérêtMuséeMUSÉE DE LA MACHINE À COUDRE Rouillé Restaurants Hébergement Visites – Points d’intérêt Produits gourmands – Vins Shopping – Mode – Cadeaux Voyage – Transports Beauté – Bien-être Maison – Déco – Jardin Pense futé – Services Résultats Musée à Rouillé L'avis du Petit Futé sur MUSÉE DE LA MACHINE À COUDRE Aller au musée de la Machine à coudre, c’est faire un voyage dans le temps. Avec 300 machines à coudre répertoriées et exposées depuis 1830 à nos jours auxquelles se joignent des aiguilles et lithographies anciennes, la collection privée de Jean-Marie Ollivier est unique en son genre dans le département. Vous observerez des modèles rares de machines Peugeot, Hurtu, Singer, Pfaff, Dohis et Robert, Bourriquet, Journaux, Pierre Bouche, Van Opel, Gnome Et Rhone, Legat, ou encore Rumpf. Si le musée se visite uniquement sur rendez-vous, la clinique où sont restaurées les machines est ouverte toute la semaine. C'est dans l'atelier de Jean-Marie Ollivier et de ses fils, deux techniciens réparateurs, que sont remis en route des modèles comme la Fridor des années 50 ou la Lada de 1972. Bien entendu, se réparent et s'entretiennent aussi ici des modèles plus récents et sophistiqués aux fonctions multiples à commande numérique. Organiser son voyage à Rouillé Transports Réservez vos billets d'avions Location voiture Taxi et VTC Location bateaux Réservez votre bus Réservez votre train Hébergements & séjours Trouver un hôtel Location de vacances Echange de logement Trouvez votre camping Services / Sur place Réservez une table Activités & visites Voyage sur mesure Apprendre une langue étrangère Informations et horaires sur MUSÉE DE LA MACHINE À COUDRE La clinique est ouverte du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 14h à 18h à partir de 9h le lundi. Le musée est ouvert uniquement sur rdv à partir de 4 1h de visite. Gratuit jusqu'à 12 ans. Adulte 6 €. Enfant 3 €. Vous êtes le responsable de ce lieu, cliquez ici Publicité En savoir plus sur Rouillé 86480 Les jeux concours du moment Remportez 1 séjour de prestige en Espagne, pour 2 personnes ! Profitez d’un séjour relaxant pour 2 personnes à Calella, dans la Province de Barcelone avec l'Associació Turística de Calella ! Remportez un guide numérique ! Du 19 au 29 août Je dépose mon avis et je gagne des Foxies Pour soumettre votre avis vous devez vous connecter. Retour Connexion Espace des Membres Email Mot de passe Mot de passe oublié ? Pas encore membre ? Réinitialiser le mot de passe Merci pour votre avis ! Bravo, votre compte a été créé avec succès et nous sommes heureux de vous compter parmi nos Membres ! Votre avis a été envoyé à notre équipe qui le validera dans les prochains jours. Vous pouvez gagner jusqu'à 500 Foxies en complétant votre profil !
Muséede la machine à coudre. La maison est fondée en 1860 par Jules NONET, son fils Claude prend la suite et vit sa passion jusqu’à l’âge de 94 ans, Jean-Loup est donc la 3ème génération à réparer les machines à coudre à cette adresse.
Le 13 Place des buttes à Châlons-en-Champagne était ouvert, sur rendez-vous, pendant plus 25 ans. Un musée incroyable, où il suffirait d’un rien pour entendre à nouveau le bruit très spécifique de la machine à coudre. Peut-être pas de la toute première inventée il y a près de 200 ans, par le français Barthélemy Thimonnier, même si elle fait bien partie de la collection. Mais pourquoi pas, d’autres, plus modernes. Vous savez, la mécanique n’a pas changé, explique Laurent Cordier, fils de Lucien et Huguette. Entre une machine d’il y a 100 ans et une d’aujourd’hui, il n’y a pas de grande différence. La piqueuse simple fonctionne toujours de la même façon ». Peugeot, Mercedes, Opel en ont fabriquées Laurent Cordier a été bercé, dès son plus jeune âge, par cette musique bien spécifique de la machine à coudre. Passionné à son tour, il souhaite transformer la maison familiale de ses parents en un lieu incontournable. Attenant à leur maison, Huguette et Lucien avaient rassemblé une collection de machines à coudre, aujourd’hui unique en France. Les machines à coudre ont été exposées durant plus de 25 ans par les époux Cordier. © Document Remis Certains me disent je connais bien la Singer. Je leur réponds mais, nous, ce que l’on montre c’est celles d’avant ! Il faut savoir que les plus grands constructeurs automobiles, Peugeot, Mercedes, Opel, ont commencé par fabriquer de la machine à coudre, explique Laurent Cordier. Machines à main, à pédale, à piston, à ficelle, de voyage ou la première électrique ». Elles y sont toutes, plus de 500, datant de 1830 à 1900, sans compter les 500 autres machines à coudre conçues pour les enfants. Elles aussi ont de plus d’un siècle. La machine à coudre était, à l’époque, le premier achat d’un couple. Elle se payait sur plusieurs mois de salaire, c’était ce qui permettait de faire tous les vêtements de la famille, les draps, les rideaux. Elle avait même une place prépondérante en période de guerre car les entreprises qui les fabriquaient pouvaient rapidement se transformer en usine d’armement. Tout le matériel y était fonte, acier, mécanique ». L’histoire de Lucien Il avait 12 ans, Lucien Cordier, lorsqu’il a dû aider son père à la maison. Il a commencé par vendre du fil et des aiguilles en faisant du porte à porte, raconte avec une pointe d’émotion Laurent, son fils. Puis en vélo ensuite, et en mobylette plus tard, il a pu transporter et vendre des machines à coudre. Vous en achetiez une et mon père récupérait l’ancienne. Les machines à coudre à pédale ont été données, pour beaucoup, à des associations qui les ont envoyées en Afrique. D’autres, sortant de l’ordinaire, étaient mises de côté ». À l’époque, la famille vit à Nancy, et c’est ainsi qu’elle commence à accumuler les machines, sans forcément se douter de la suite. Lucien Cordier ouvre son premier magasin, à Bar-le-Duc dans la Meuse. C’est aussi dans cette ville qu’il rencontre sa femme. Ensemble, ils poursuivent la passion. Ils s’installent à Châlons-en-Champagne et ouvre en 1956, Place Godard, leur second magasin de vente de machines à coudre. Notre collection a grandi, raconte encore Laurent Cordier, mes parents, puis moi avec eux ensuite, nous participions a des réunions de collectionneurs en Allemagne, en Angleterre. C’était des clubs de machines à coudre où nous échangions nos machines pour avoir de plus belles pièces. J’ai racheté des collections, créé un site internet ». Laurent ouvre lui-même un magasin de vente de machines à coudre à Reims à la fin des années 70. À leur retraite, ses parents transmettent le leur à Françoise Billo. Il perdurera jusqu’en 2019. Un lieu unique en France Lucien et Huguette Cordier sont aujourd’hui décédés et le musée privé qu’ils ont créé, fermé. Laurent, leur fils, a donc bien l’intention de faire revivre la collection familiale. Je souhaite qu’elle devienne vivante. Nous voulons lui donner la grandeur qu’elle mérite et qu’elle puisse permettre au plus grand nombre de personnes de se retrouver. Leur transmettre la passion de ce patrimoine accumulé pendant plus de 50 ans ». Chromolithographie publicitaire pour la machine à coudre Singer "103" Pour cela, il a été rejoint par deux passionnés Françoise Billo, qui a racheté le magasin et Lucile Debrandt, couturière et créatrice de lingerie. Si c’est pour faire un musée classique, et ce n’est pas péjoratif, reprend Laurent Cordier, ce n’est pas la peine. Nous ne souhaitons pas ouvrir quelques mois dans l’année et quelques heures par jour pour voir 3-4 personnes. Nous voulons rassembler, fédérer ». Créer un lieu atypique, intergénérationnel où, bien sûr, les plus beaux modèles de machines à coudre seront exposés, mais où des cours de couture pourraient être dispensés, des lieux d’exposition mis à disposition, où encore un salon de thé pourrait être installé. Mais avant cela, la première étape est de créer une association loi 1901 et de recruter des bénévoles. Nous devons d’abord procéder à la transformation de la maison familiale de mes parents, la rénover pour pouvoir y installer la collection. Pour cela nous comptons sur la solidarité et les compétences de chacun dans tous les domaines électricité, décoration etc. ». Une fois cette nouvelle étape accomplie, il faudra fidéliser ces bénévoles pour faire fonctionner le lieu dédié. L’association débutera avec une chance folle celle d’avoir un site de plus de 300 mètres carrés, en plein centre-ville de Châlons-en-Champagne. Un lieu et une âme... celle déposée là par Lucien et Huguette Cordier. Ça a été toute sa vie, dit encore Laurent Cordier en parlant de son père. Une semaine avant de mourir, il réparait encore des machines à coudre dans son atelier ». Isabelle ForboteauxFrance 3 Grand-EstAccédez à l’article source
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